vendredi 20 mai 2011

Macho Man Randy Rapture

On reblogue aujourd’hui, pour le plaisir de le refaire, parce qu’on a passé du bon temps d’antan à se confesser à cet ordinateur. Car depuis l’arrivée de Miss South Paw, plusieurs choses on changé mais mon besoin d’extérioriser s’est maintenu à un minimum, du moins, pas en public.

J’ai souvent parlé de la fin de mon quête de reconnaissance et je réalise de plus en plus que j’ai passé une bonne dizaine d’années à tenter de convaincre les autres que j’étais quelqu’un d’intéressant ou minimalement, valide. J’ai mis tant d’effort à étudier, rechercher et m’instruire pour m’assurer qu’on me prendra jamais pour quelqu’un de banal. Mais comme notre univers est si bien fait, je réalise maintenant que malgré les efforts que j’ai mis pour devenir quelqu’un d’intéressant, aucun effort était nécessaire : si tu es apprécié, c’est souvent plus pour qui tu es que ce que tu fais ou dit. J’écris ces mots toute suite après avoir appris la nouvelle du décès de Macho Man Randy Savage, un homme qui à eu un profond impact sur ma manière d’être mais aussi un homme qui, malgré ses nombreux accomplissements, ne sera jamais un souvenir « d’avoir » mais un rêve « d’être ».

Le sport n’est pas mon fort, mais j’adore le sentiment de communion qu’il propage. Depuis le premier moment assis aux côtés de Simon Perrotte et ma femme, à encourage Bulis, le sport n’était pas un moment compétitif c’était un moment de communion. C’était un moment de mettre sa personnalité en jeu pour discuter d’un sujet externe. Comme on dit souvent : « Quand Paul parle de Pierre on comprend plus sur Paul que sur Pierre » rien n’est plus vrai que lors d’une conversation de sport.

Et pour Macho Man, le sport c’était ceci :

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