vendredi 17 février 2012

Sur le Baseball

Je ne vous mentirai pas en vous avouant que ça fait un nombre incalculable de jours que je travaille sur l’exposition de certaines préférences culturelles de l’année 2011. Non, en fait, je vous mentirais si je disais que j’ai travaillé comme un forcené sur la chose et que je peux enfin vous révélé mes choix. Non, c’est faux, j’ai à peine prix dix minutes sur un coin de table pour penser à mes dix films, à mes albums, les livres, les comics. Dix minutes tops, mais en dix minutes j’ai quand même produit cet petite forme d’explication de mon affection pour Moneyball.



« Si je dois m’expliquer en disant que ce n’est pas le meilleur film que j’ai vu cette année, je dois quand-même avouer que c’est mon préféré. Voyez, les années passent et je me sens de plus en plus las devant les soi-disant « meilleurs films de l’année », cette liste ne peux que se présenter comme étant subjective et de plus : comment qualifions nous « meilleur film », est-ce celui qui à le plus marqué la populace? Est-celui qui est la meilleure réflexion de notre époque? L’innovation narrative ou technique? Ou dans le plus terrifiant des cas, le meilleur fil serait-il celui qui à été le plus acclamé? Je trouve toute cette opinion trop dense à avaler, voila donc pourquoi je me suis distancé depuis plusieurs années de cette mascarade d’érudition préférant tout jouer closer to the chest, d’autres dans mon environnement savent beaucoup plus que moi ce qui compose un grand film, je leur laisserai le privilège de proclamer leurs listes haut et fort et je me tiendrai qu’à piller leurs compte officiel pour de futur suggestions de films à voir. »



Mais hier, Gary Carter est mort ce qui m’a donc porté à croire que je pouvais réutiliser cet avorton de critique pour assembler plusieurs lectures que j’ai fait dernièrement concernant le sport noble du baseball.



Après un re-écoute de la fantastique série BASEBALL de Ken Burns, mon intuition me disait que le fameux documentariste avait omis une seule spécification à sa série de documentaires. Et voila, c’était bien vrai, Burns n’a pas mentionnée les racines masoniques du sport.



Et parlant de comics, saviez-vous que comme l’équipe du Deep Space Nine, la Justice League s’est aussi livrée à une partie amicale contre des vilains?

Bonne Lecture, Bon Baseball, Merci Grig, Merci Gary.

samedi 11 février 2012




lundi 30 janvier 2012


Je serais prêt à croire ce film est une tentative de faire The Shining si Jack Torrence avait déjà vu The Shining. Mais il faudrait me saouler avant.

J'ai encore beaucoup de difficulté à comprendre pourquoi Seth Rogen passe près de se gerber dessus lorsqu'il rase la tête de JGL. Pour moi le film s'est arrêté là.

Égal à la franchise mais tout-de-même le seul PA que j'ai pas eu de difficulté à m'endormir après.

vendredi 20 janvier 2012

Oh SHIT! un post d'étrangeté....WAHOOLAZUMA!



Encore une fois, je suis dépasé par ce qui se fait dans le monde de l'humour Britannique. Les émissions que nous ne reçevons pas, en sol québécois, continuent à m'émerveiller, me suprendre et me jeter à terre. Brass Eye, une série de faux documentaires "engagés" à la sauce extrème droite absurde et irrévérencieuse s'est permis un bref comback en 2001 pour un spécial sur l'abus d'enfants, le titre: Peadrogeddon!

Innovateur et génial, l'équipe de Brass Eye pousse l'actualité à l'absurde, quand la réalité est beaucoup plus absurde que tout ce que nous pouvons imaginer.



Comme un rouge avec du camembert, El Dia de la Bestia va parfaitement bien pour un souper combiné avec Guest House Paradiso, La cité de la peur ou Ding et Dong : Le film

mardi 17 janvier 2012

Pensez-y sérieusement, seriez-vous intéressés par un American Beauty par John Carpenter? Première réalisation de Brian Yuzna

Rien ne sauve un film qui décide de revenir sur toute sa prémisse à la fin pour s'assurer que les gens soient pas trops dérangés dans leurs valeurs.

Étrange impression de voir quelque chose comme un "CLERKS" de Kung Fun médiéval.

mardi 10 janvier 2012

Car croire que les choses que l'on vit ne seront jamais aussi importantes que celle que nous avons déjà vécues est une partie inhérente de viellir

aujourd'hui j'ai lu un superberbe article de LEigh Wannell, co-créateur de SAW sur son expérience sur DEAD SILENCE, l'article s'intitule: L'expérience infernale de production d'un film d'horreur.

The Hellish Experience Of Making A Bad Horror Film

L'article explique, en quelques sorte, pourquoi des choses comme ceci n'arrivent plus à la télévision...

jeudi 5 janvier 2012

J'ai un drôle d'anniversaire

comme je disais, j'ai un interessant anniversaire.
Il me semble que depuis que je suis tout petit je ne fait que remarquer les grands accomplissements ou les grands anniversaires de renomée qui tombent soit une journée avant ou une journée après ma propre naissance.

et aujourd'hui j'apprends que IRON MAIDEN à lancé son album NUMBER OF THE BEAST le jour de ma naissance



CAN ETERNAL LIE!


Le cheval continue à symboliser l'humanité dans tout ce qu'il possède de plus grandiose et Spielbreg ré-intère son message positiviste, peu compris dans les temps qui courent, que c'est seulement quand on lâche prise des convictions impossés par une société malade que l'on cours véritablement la chance de vivre en paix dans ce bas monde.



Un tueur en série, non-assumé, rencontre un jeune Borat dans une aventure qui leur fera comprendre l'importance de l'histoire personelle.

mardi 3 janvier 2012