vendredi 30 janvier 2009

Could this man be CURSED !


Tellement interesant qu'ils en on fait un article dessus mais laissez donc le pauvre John en parler lui-même:

"Reading Michael Drosnin's response to Michael Shermer's column on the Bible "code" and its ability to accurately predict the future, I could not help but laugh. I have been a writer and illustrator of comic books for the past 30 years, and in that time I have "predicted" the future so many times in my work my colleagues have actually taken to referring to it as "the Byrne Curse."

It began in the late 1970s. While working on a Spider-Man series titled "Marvel Team-Up" I did a story about a blackout in New York. There was a blackout the month the issue went on sale (six months after I drew it.) While working on "Uncanny X-Men" I hit Japan with a major earthquake, and again the real thing happened the month the issue hit the stands.

Now, those things are fairly easy to "predict," but consider these: When working on the relaunch of Superman, for DC Comics, I had the Man of Steel fly to the rescue when disaster beset the NASA space shuttle. The Challenger tragedy happened almost immediately thereafter, with time, fortunately, for the issue in question to be redrawn, substituting a "space plane" for the shuttle.

Most recent, and chilling, came when I was writing and drawing "Wonder Woman," and did a story in which the title character was killed, as a prelude to her becoming a goddess. The cover for that issue was done as a newspaper front page, With the headline "Princess Diana Dies." (Diana is Wonder Woman's real name). That issue went on sale on a Thursday. The following Saturday ... I don't have to tell you, do I?

My ability as a prognosticator, like Drosnin's, would seem assured--provided, of course, we reference only the above, and skip over the hundreds of other comic books I have produced which featured all manner of catastrophes, large and small, which did not come to pass.

--John Byrne, byrne415@optonline.net

P. S. One of my fellow comic folk reminded me of another "prediction." I did a Hulk story that had a Canadian battleship in it. As a gag, the ship was named "Deifenbacher," after the former Prime Minister. Ships of the line are not traditionally named after living people--which is what John Deifenbacher was when the story was written. By the time it was published, he was dead. Mea culpa!"


Magasine disponible ici

Aujourd'hui dans le monde des Blogs

Un bon article coup-de-cœur sur la librairie virtuelle de l'ONF, sur La Confiserie

"Toute notre histoire, même avant la révolution tranquille a été documenté par des hommes incroyables, qui à eux seuls ont littéralement inventés un langage cinématographique qui n'avait jamais été utilisé sur cette gigantesque planète qui est la nôtre. Moi ça m'a toujours fasciné, j'ai vu les films de Perreault, Brault, Jutra, Groulx et les autres, tous des chefs d'œuvres autant qu'ils sont."

Lire l'article complet ici

mercredi 28 janvier 2009

À L'écoute ce mercredi


En cette période de fascination vampirique (le balancier revient violemment à toutes les générations), le Septième est en grande rogne; les loups-garou, éternels seconds dans le royaume des monstres, méritent plus de respect.

Pour vous, chers amateurs de lycanthropes, on parle des films les mettant en vedette et du grand chef d'oeuvre du genre, selon nous, THE COMPANY OF WOLVES de Neil Jordan.

Wargtimmen y'all! C'est maintenant l'heure du loup.

vous pouvez(ehem DEVEZ !) l'écouter ici...non ici, ok ici

et à 16:30

Dans la prochaine édition de Multi-Joueurs, nous attaquons les gros canons comme Gears of War 2 et Fables 2 pour leurs médiocrité narrative et nous allons évidemment acclamer Mass Effect comme une révélation en écriture. Également au rendez-vous, une meilleure qualité sonore.

MULTI-JOUEURS, téléchargeable ici

mardi 27 janvier 2009

On est le 27 janvier...

...et je me réveille, une fois de plus comme dans tant d'autres circonstances dans du liquide. Le lit est encore mouillée malgré que je vois que 10 heures on passé entre le moment de mon coucher et celui de mon réveil. Ma peau tire trop pour pouvoir enlever mon chandail et c'est probablement pourquoi je l'ait pas enlevé hier soir, en m'endormant. Un de mes bras est couvert de coupures, encore un autre soirée comme une autre. Étrangement, je suis dé-symétrique ce matin. Un coté de moi est plein de lésions mais l'autre n'a même la trace d'une égratignure. La veste ne survivra pas la translation hors de sur mon corps, je prends donc une lame qui traîne sur le bord du lit pour le couper, libre de moi. Ça brûle quand je lève le bras droit vers le haut de la veste en latex, mais deux coup en font une courte histoire. Le plafond de ma chambre est toujours inexistant mais la température à l'intérieur ne pourrait pas être devinée par les gens qui regardent de l'extérieur. Il fait froid dehors, je vois le gens qui respirent des nuages miniatures, j'en respire un par solidarité, un nuage de cigarette noire.
Une douche froide, deux autres cigarettes et je suis sorti.
On ne sais pas ce qui s'est passé depuis que le monde est tombé dans le trou, on ne sait pas la cause, ni les conséquences. pour moi rien ne compte sauf le fait que je porte le même manteau depuis toujours: une constance, un monde, un manteau

Moorcock's Dystopia's

The best dystopias

* Michael Moorcock
* The Guardian, Thursday 22 January 2009
* Article history

George Orwell: Nineteen Eighty-four (1949)
Ray Bradbury: Fahrenheit 451 (1953)
Frederik Pohl & CM Kornbluth: The Space Merchants (1953)
Angus Wilson: The Old Men at the Zoo (1961)
Thomas M Disch: Camp Concentration (1968)
Margaret Atwood: The Handmaid's Tale (1985)
Joanna Russ: The Female Man (1975)

Article ici

dimanche 25 janvier 2009

Six Shooter DRum Set

Hier en jasant avec Keuk sur le bord d'une table au cheval blanc avec tout les habitués de ce lieu plus moi (qui prends le nom affectif de #3 à partir de maintenant dans la place). On parle de drum, de jazz et de western, plus spécifiquement de Elvin Jones

samedi 24 janvier 2009

Nouvelle Track de SAUL


Pour ceux qui font parti de son mailling-list, vous avez reçu ceci hier, pour le autres, il est juste ici :

We have overcome.

Except those of us now in Gaza. Except those of us whom police kill. Except those of us who are suspects. Except those of us whom the church hate. Except those of us damned to taste good. Except those of us held by fate. We are meeting in the capitol. Word is, freedom will not wait.

All that once was never shall be.
All they could do won’t be done.
All we sang of is now happening.

[note to self:]
Must write
new songs
to become…

...And so it was. Through the collective imagination of the people, the force of will and human potential, and an unflinching ability to hold himself to task, Niggy Tardust was liberated. His ability to see beyond the boundaries and obstacles of 'genre', 'race', and suppression, allowed him to encompass a grace and sound that embodied the all. All that had stood against him, now stood with him. All that had claimed a lesser harmony, now craved voice and resonance. He stood with poets, painters, dancers, students, children of the night who had transformed themselves into a million bright ambassadors of morning, and proclaimed,

“We declare declaratives and deny the official. Based in the landmark of the G-spot, we have overtaken ourselves and overthrown our forefathers. Let there be light within the light and let it answer to the name of Darkness. We are forever risen from the deadly: the anti-virus and the All Stars. Granted power by forces unbeknownst to us. Made in the likeness of kindness. We offer anger to the angry and fear to the fearful. We dance at our own funerals to forsake the mourners…

…This is no time to cry! This is no time at all! Here is the moment of the overlooked and the unforeseeable. We are the elected officials of the people: poets and artists. We are the declarative statement of the inarticulate, the irreparably damaged goods of the bad meaning good. We are the government! We are the government! We are the government!”

DOWNLOAD THE GOVERNMENT

vendredi 23 janvier 2009

pour votre ?



(GO BEAR !)

Figura

J'ai travaillé pas mal toute la journée sur un projet de conférence pour le centre FIGURA. C'est vraiment particulier comment il est difficile pour moi d'exercer la synthèse, je suis tellement souvent habitué de parler de ces choses et quand j'arrive à l'écrit, la ou chaque mot compte dans sa précision...hmm tout est à réfléchir. Donc j'écris ça dans mon bureau. Bon je suis rendu à mon deuxième jet...qu'en pensez-vous ?


De Mercure à Flash et d’Homère à Kirby : Le passage du mythe classique à la modernité.

Pour comprendre le monde, l’homme s’est érigé une cathédrale d’histoires. Entres ses murs, toute manifestation du monde s’explique par un récit. De Fenhir à Chronos, des contes aux paraboles, l’homme s’est toujours retrouvé à s’expliquer les phénomènes naturels par l’histoire. Ce processus d’explication est sans contredit aussi naturel pour l’homme que la posture verticale. Le mythe est toujours étudié, mais de moins en moins crédibilisé dans son rôle explicatif depuis l’arivée de la deuxième grande cathédrale du savoir soit la science. Il sera donc intéressant de regarder ce processus « d’explication du monde à travers l’histoire» dans la modernité soit à travers notre plus récente lentille culturelle : la bande dessinée. Trop souvent pouvons nous apercevoir des manifestations de mythes antiques dans les « comics » États-Uniens. Que ce soit Flash qui porte le chapeau de Mercure ou Superman qui prend des allures d’Übermensch Nietzschéen les mythologies semblent toujours bien vivantes dans le monde des super-héros. Il est même possible de dire que les vieux mythes se sont retrouvés recyclés dans les œuvres de Jack Kirby, Stan Lee, Bob Kane, Joe Shuster et plus récemment Grant Morrison. Nous observerons le processus de « modernisation » des mythes classiques avec les écrits de penseurs tels : Christofer Knowles, Umberto Eco, Jacques Desautels, Jean-Louis Harouel, Danny Fingeroth et Fred Van Lente.

mercredi 21 janvier 2009

Anybody else see where im going with this...



RENE AUBERJONOIS FOR PLASTIC MAN !!!!

lundi 19 janvier 2009

Bleu Monday

On dit que, statistiquement, le 19 Janvier est la journée de l'année durant laquelle le plus grand nombre de gens se tuent. Journée capitale du suicide mondial, pour autant de raisons qu'ils y a de gens qui s'ôtent la vie. Moi, personnellement je trouve ça le fun de savoir qu'on arrive à mesurer des choses comme celles-là. On peut se poser plein de questions sur le monde, avoir d'l'air de mauvaise humeur et surtout, expliquer d'une façon unilatérale le comportement étrange des gens durant cette journée
(-Tu sais hier j'ai parlé avec X pis elle s'est mise a pleurer
- Ah! ça tombe bien hier, c'était la journée avec le plus haut taux de suiciede par année, peut-être que c'est ça...
- Ouais...)
(malgré que l'on puisse jamais expliquer ni excuser les comportements des gens dans le métro)
J'avais entendu cela à propos du 19 janvier il y a maintenant je crois trois ans. J'ai toujours conçu cette information comme un autres des milliards d'unités d'informations qui m'ont été légués par trop de lecture, de net et de memes mais je me rends compte que cette histoire à fait le tour. Ce matin, le journal MÉTRO avait une édition spéciale :

(Aujourd’hui, la plupart des éditions de Métro, partout dans le monde, sont imprimées sur une trame jaune. Ce numéro, qui aborde le thème du bonheur sous plusieurs angles, se veut une sorte de rayon de soleil en plein milieu de l’hiver et de la crise économique, qui a souvent monopolisé l’attention ces derniers mois. )
Puisque qu'il est maintenant tard et que la journée ce termine bientôt je dois ajouter :
un peu de dépression fait beaucoup de bien, une joie naïve et fausse apporte aucune solution, ça apporte la passivité et l'abrutissement. Y faut quand même vivre tout le spectres de l'expérience humaine pour devenir une meilleure personne. Ce la inclue aussi la période de dépression qui inclue des merveilleux moments de réclusion, réflexion et négligence de l'hygiène corporelle.
Je rêve d'un monde dans lequel la première page du METRO serait :

ah oui je suis cynique...RIGHT ON !

jeudi 15 janvier 2009

Dan Curtis Johnson:

Let’s face it. You’re in a blog rut.

Most of the time, you write about more of the same kinda stuff that you usually write about.

Maybe it’s your day-to-day life, the stuff you did. Maybe it’s topical news response. Maybe it’s short fiction. Maybe it’s re-linking random stuff you see on the internet. Maybe it’s LOLCAT porn. (I hope it’s not LOLCAT porn.) Maybe it’s here on LiveJournal, or it’s over on Vox, or Blogspot or Blogger or Blogblog or Postablogablowablog, or WordPress or Facebook or FacePress or FacePlant or maybe it’s just your Twitter account. It’s what you’re comfortable with, I know, I know…

…but why not try doing something different, just for a day?

Two weeks from today, Tuesday January 27th, is Lewis Carroll’s 177th birthday. Carroll, you’ll recall, wrote about a girl who fell down a rabbit hole and found herself in a place where all the rules had changed. In two weeks, on Lewis Carroll’s 177th birthday, you should do the same.

That’s right: the 5th Annual Rabbit Hole Day is coming.

When you wake up on the 27th, instead of writing about your usual work and school and politics and friends and news and stuff, experience life down the Rabbit Hole and write about the work, the school, the politics, the friends, the news, the stuff that you find there instead. Travel through time. Turn into an animal. Flee from assassins. Talk to your goldfish. Conquer Greenland. Sprout some extra limbs. Learn how to walk on water. Marry an insect.

Take a break from the Every Day and write about your Rabbit Hole Day. Your normal life will be waiting for you when you get back."

vendredi 9 janvier 2009

Le jour ouvre sur...

MORN !
oui ce matin, je me donne la journée pour agir en ma faveur. J'écris à tout le monde qui ont eu la gentillesse de m'envoyer de quoi cette semaine, je leur réponds, comme au shish-taouk...ça fait plaisir
Zhull mords toujours, ce matin sur mon lit je me cachais de la rage de ses dents en lisant ZOT ! en pyjama. (bon assez avec le blog nul a ch.... comme dirais BrutaLLL)
TOOLSHED rock l'appart à l'instant, j'ai commencé à mettre sur papier la campagne de D&D qui commence dans un mois. Je dois aussi descendre à CHOQ.FM pour déposer un projet : MULTIJOUEURS, une émission sur l'industrie du jeu vidéo. Ouaip, on a travaillé longtemps sur rendre le comic intéressant et accessible avec l'équipe des MYSTÉRIEUX ÉTONNANTS mais j'ai besoin de nouveau, d'autre chose, j'ai comme besoin de continuer à me dépasser, dans vingt ans vous allez me revoir faire une émission sur l'horticulture, juste pour me prouver que j'en suis capable. C'est exactement pour cela aussi que j'ai ré-installé ma basse dans mon bureau ce matin.
On commence à nouveau le vieux cycle de ma vie. Je veut tout faire et tout voir en même temps. Je me suis même surpris hier a dire a ma copine que j'avais bien hâte qu'on ait des ports USB sur le bord des tempes, de manière à me télécharger NOQUVANIQWATTI (pas vraiment ça mais assez proche pour vous compreniez de quoi je parle) dans les paupières.

LATE NEWS


A builder scared off a house-breaker by running at him dressed as the Norse god Thor.

The terrified intruder leapt from a first floor window to escape Torvald Alexander, who was dressed as the Norse god of thunder in a red cape and silver helmet and breastplate.

Mr Alexander had just returned from a New Year's Eve fancy dress party when he discovered the man in his home in Inverleith, Edinburgh.

lundi 5 janvier 2009

s hotis

J'adore les feed de Warren Ellis de fin d'année dans lequel il demande à ces lecteurs de lui envoyer un portrait de eux et il sacre tout ça sur Flickr pour en faire un collage. J'adore aussi quand Seba de Gatineau mets des photos de lui et son entourage sur son blog, j'aime voir les photos retouchés des gens sur Facebook, toutes les choses qu'il peuvent faire avec Photoshop et les autres programmes de digitalisation. J'adore ça en partie parce que je suis incapable d'en faire moi-même et je me dit toujours que la façon que les photos sont prises en disent souvent plus sur la personne que la photo elle-même. Des matins, lorsque je cherche...(une idée, un concept, de l'imagination, un fil à ma journée) je fait le tour des sites de photos pour voir ce qu'il y a dans ce beau monde photographique. J'adore voir le tout à travers des lentilles individuelles et c'est ce que je fait depuis ce matin, je regarde des "pics".
L'affaire c'est que je suis incapable de publier des photos de moi-même...
J'en prends, j'en regarde, je pose et tout et tout mais les publier sur mon blog, ouf, ça c'est un autre sentiment. J'ai comme un dédain à la vanité, et NON je ne dit pas que c'est de la vanité de le faire je trouve juste que cela en serait dans MON cas ! Il me manque ce recul sur ma personne que tant de gens semblent posséder, une distance saine qui fait réfléchir. On parle souvent que depuis le début de l'âge de la consommation tout ce qui reste à l'humain est son corps et rien d'autre. Les tatouages, les piercings et les modifications corporelles seraient donc vues comme des ré-appropriations de son corps par soi-même. Mettre une photo sur mon blog semble être ma version d'une ré-appropriation de mon corps virtuel et pour cela je vous offre CECI ! :

je sais c'est pas grand chose, je l'ai pas mal plus fait pour moi que pour vous, pour un peu me pousser à kicker ma méconception vanitaire (it's a NON-WORD !) je vais tenter de faire ça un peu plus de temps à autre, juste pour voir, juste pour changer les choses...