samedi 26 juillet 2008

je vous l'avais dit, je suis ON A ROLL

Well you know im on a roll

Ok Palahniuk c'est très plaisant à lire.
Je voulais pas trop devenir grivois, mais bon le dernier post à pas mal ouvert la porte à la vulgarité comme un coup de douze scié dans le dos d'une pute...voici un extrait de ce que j'ai lu toute la journée, parce que citer des livres ça fait tellement intello sur un blog (!)

«The Dan Banyan guy, he says the only trick to starring in an all-male backdoor gang-bang movie is you have to really relax. Keep breathing, deep. You need to forget all your decades and decades of toilet training. Picture puppies and kitties. He says you kneel on the edge of a bed and five other guys come in and dork your ass a couple strokes each. those five blow their loads across your back. then another five come in. He really wasn't counting. then he lost count. Taking a strong dose of Special K helped.»
-Snuff, Chuck Palahniuk

TAKE THAT CORMAC MCCARTHY !!!! (evil laugh, evil laugh, j'ai adoré There Will Be Blood)

pourquoi ?

Les gens s'entêtent de crier «Mange d'l'a marde !» quand un bon «Mange MA marde !» est beaucoup plus efficace ?

tag: vulgaritus (pas que j'ai des tags sur mon blog de toute façon parce que je suis aussi habile à tenir un chemin de pensée droit qu'un lama est habile à masturber un nain, mais bon j'essaye quand même)

Quand on me sépare de l'internet trop longtemps, y arrive toujours des choses de même...

Metro-Goldwyn-Mayer Pictures (MGM) has signed Darren Aronofsky to direct and David Self to write a new installment for its "RoboCop" franchise. Aronofsky, the director of The Fountain, and Self, the writer of Road to Perdition, make a formidable creative team, fast tracking the RoboCop motion picture and spotlighting it as one of the most anticipated new films for 2010.

In making the announcement Parent said: "Darren is undeniably one of the most talented, original and visceral film makers, and David is one of the greatest writers in Hollywood. All of us at MGM couldn't be more excited."

ouais ouais ouais

Bon je sais, je donnes pas trop de nouvelles, je suis pas trop sorteux, je vous ignore...bah laissez-moi donc tranquille avec ça. Je viens de finir le dernier Chuck Palahniuk pis je suis même allé voir Dark Knight aujoud'hui (vous en aurez mon opinion complet, après mes critiques de Fantasia pis d'Infection, sur lequelles je travaille...) mais pour l'instant je travaille sur le projet MonkeyWritingShakespeare
que je vais tenter de faire publier chez Bleu/Orange et je vais me remettre à la vie ordinaire.
Malgré tout j'ai quand même pensé à vous, voici sur quoi je me suis concentré toute le semaine.

épatés...hein

jeudi 17 juillet 2008

SPARROW

Comme dit auparavent, Johnnie To fait parti d’une catégorie de cinéastre qui, pour moi, pourraient filmer des hippocampes qui accouchent et sa serait toujours interessant. SPARROW n’est pas exception à la règle. Un film de pickpockets qui fait tout en son pouvoir pour être un film de Jacques Becker. Depuis le temps que l’on sait que les réalisateurs de Hong Kong trippent sur Alain Delon, SPARROW c’est l’ultime preuve de ce fait. Trois ans à faire, pis une référence aux films français classiques aux quinze minutes. Je suis heureux. Pour célèbrer le tout, ma liste des moment les plus fuckin’ cool du cinéma :

1- La conversation du début de Enfants du Paradis (…mais Paris est si petit pour deux gens qui s’aiment d’un amour gros comme le nôtre)

2- Quand HAL se fait débrancher dans 2001

3- La scène finale de SPARROW, la scène d’action la plus lente de l’histoire du cinéma.

Évidamment, il y de la place pour tout ce que ASH et SNAKE PLISKEN font à l’écran. Mais c’est vraiment une catégorie à part.

Second SKin

Bon, j’ai assez dormi, ya une panne ici donc je vais en profiter pour écrire le long cibolak de texte que je me promet de faire sur Second Skin. A la base sachez que mes observations serons moins du point de vue cinématographique ou même documentariste mais plutôt parr apport à ma maîtrise, qui commence de plus en plus a prendre forme. Comme vous le savez bien, je travaille sur les nouvelles formes de narrativité et comment ils affectent l’esprit du post-humain. La nouvelle générations de lecteurs (multimédia cette fois-ci) aura à s’adapter plus rapidement aux nouvelles formes de récit et comme Alice Van de Klei m’a bien appris, l’avenir de la la lecture ne réside plus dans l’œuvre mais dans le lecteur. Bon si vous voulez une plus ample explication de ce point, demandez-moi le j’en ferai un post complet, mais pour l’instant ce serait trop long pour le blog. Second Skin est un documentaire sur les joueurs de WoW (du l33t pour World of Warcraft) et leur addiction. En fait , le réalisateur a bien choisi son monde, durant le docu on suit : un groupe de quatres amis «gamers», un couple nouvellement formé grâce à Everquest II et un «recovering addict» qui a tout perdu à cause de WoW. Le docu est extrèmement pertinent (13 joueurs de WoW sur 16 personnes dans mon équipe de travail, le jeu est partout) en parlant de ce nouveau tors qui est fait au «out-casts». Si l’alcoolisme est la dépendance du depressif et la drogue celle de l’anticonformisme, le gmaing est sans doute la dépendance des délaissés sociaux. Un des points les plus interessants du film ce fait lorsqu’on arrive à comprendre que les gens qui sont pris dans cette déepndance ne sont pas prisonniers à cause d’un faiblesse mais plutôt à cause de l’illusion trop forte. Simplement dit, les gens qui se perdent dans les MMORPG ne sont pas pris dans une spirale d’échec, mais plutôt dans une spirale de réuissite, c’est principalement à cause de leur réuissite dans le monde fictif qu’ils sont prisonniers de ce phantasme. (je vais faire ça bref, parce qu’en relisant ce post je me rends compte que ça s’éternise pas mal, mais soyez patiens, le point auquel je veut arriver s’en viens…)Dans un société qui priment la réuissite sociale à tout prix, comment réagissent les derniers de classe ? Ils se positionnent en Bande-a-part. Les vidangeurs et les livreurs de notre monde devienenent les Mages et les Guerriers d’un autre. Dans notre monde ils n’ont pas le pouvoir de changer les choses, mais dans WoW, ils sont vénérés, respectés. Ils peuvent être un «benefactor» ou un «villain» pour leur entourage. Le pouvoir se transmet dans leurs mains et c’est, a mon avis, le meilleur de cette addiction. Après Second Skin j’ai eu beaucoup de misère à jeuger ces gens, je me suis même retrouvé à les défendre à deux ou trois reprises. Quand j’était petit et que je me sentait misérable, je lisait, je partais, je m’aventurais. C’est sans doute l’explication simple de pourquoi je suis si impliqué en littérature présentement. Dans mes moments d’inconforts enfantins, je pouvais toujours partir pour un monde littéraire, comme plusieurs de mes collègues en lettres. Quand j’était jeune, je pouvais pas me connecter à un monde virtuel enivrant (avoir pu je l’aurais assurément fait) je pouvais seulement ouvrir un livre, un livre que je pouvais aussi fermer à la fin. La force des MMORPG réside dans le fait qu’il ne se termine pas, un livre sans fin, une histoire aussi longue que l’implication du lecteur. Les nouvelles narrations sont plus fortes car elles sont de plus en plus interactives, de mieux en mieux faites et se terminent que quand le lecteur le désire, un histoire sans fin de quoi rendre Michael Ende fier…

mercredi 16 juillet 2008

Ooplah (ou le bruit d’un fée aux toilettes)



et oui, je veut dire un fée, comme dans masculin. Bon vous avez remarqué, moi aussi, ma tante aussi pis Jack Layton aussi, j’ai pas mis mon blog a jour depuis un bon moment… Je dois partager avec vous cette raison hors du commun, quand je manque de sommeil j’ai plus de facilité à violer un Tickle-me Elmo avec un autre Tickle-me Elmo (photo a venir) que d’aligner trois phrases. Ma dernière semaine d’existence se limitais à ceci :

Je travaille fort

Je visionne des films a Fantasia à moitié

Et je dors mal

Ceci étant dit, j’ai pris beaucoup de retard pour me reviews mais je vous assure qu’ils seront tous postés d’ici peu. Ca fait deux soirs de suite que je dors relativement bien, je devrais remonter la côte de fatigue et retrouver ma force de dictée. Marde, quand je vais aux toilettes, je confirme toujours que le mur est bien calqué et je me prends souvent les mains dans des buissons pour m’assurer qu’il n’y a pas de bugs de collision. La réalité s’en viens de plus en plus mince pour moi (vous allez voir avec mon review de Second Skin) et je dois vous avouer que ça m’inquiète pas mal (pas que j’ai un problème avec l’inévitable conclusion que vous êtes tous des figments de ma psychose personnelle, celle-là je l’attends depuis que j’ai douze ans…) celle qui me dérange c’est l’inquiétude que tout ce qui se passe se passe pas pour moi mais que je suis que le figment de décor de la vie de quelqu’un d’autre. Malgré que la peur d’être un NPC pour dieu me terrorise (et me plait quand même aussi) ça expliquerais mon fantasme pour les robes de mariés. Fook it. Jai une annonce à faire, Mercredi soir a 19hrs je serai au Sadie Bronfoman theater pour présenter PUBLIC DEFENDER. Film qui aurait inspiré Bob Kane dans la création de Batman. Donc si y’a quelqu’un qui veut me voir parler de Batman (comme je le fait souvent, même tout le temps) devant une foule (avec pantalons cette fois-ci) de manchots (juste pour voir si vous portiez encore attention à ce que je dit) ça sera pour mercredi à 19hrs au SadieBromfMAN ! ( Lien ici ) (pis pas de lien ici)

mercredi 9 juillet 2008

Genius Party (c'est le cas de le dire)


Bon, pour un film comme celui-ci je veut beacoup en dire mais pas trop. J’ai beuacoup aimé mais comme il arrive souvent avec des travaux collectifs on à des HITS et des MISSES. Je me limiterai donc à une phrase par film pour pratiquer ma synthèse et pas trop m’éterniser sur ce film que vous devez tous voir de toute façon. Et comme vous le savez tous, je suis un inconditionnel du Studio 4oC (MindGame, Tekkonkinkreet…). Allons-y pour le sport !

J'aim manqué le premier, toutes les indications de Fantasia étaient contradictoies, soit que ça commencait à une heure ou à une heure et demi. Pour pas faire dans la demi mesure, je suis arrivé à une heure et quart...trève de conneries, alons !

Shaghai Dragon : Si Kyle Rayner avait huit ans. Le récit d’un jeune garçon qui manipule un objet cosmique qui amplifie l’imaginaire humain. Beau et fun mais pas transcendant

Deathtic 4 : Le plus esthétique de la gang, de mon avis. Un jeune zombie et ses amis super-héros undead doivent retourner l’unique animal vivant a sa réalité. Vraiment interssant dans son écriture, le temps étant limité et l’histoire quand même éloborée je vous invite à observer les sauts de scénario, ils sont extrèmements précis et bien situés, c’est génial comme écriture.

Doorbell : J’imagine que plusieurs gens n’ont pas aimé celui-ci et je comprendrais parce qu’il semble pouvoir se lire au premier degré, genre film d’imposteur/suspense/schizophrène. Le film me rappelais ce qu’un de mes bons amis Grigori Turgeon me disait : «On peut pas toujours garder les mêmes amis parce qu’on évolue tous dans des directions différentes, le temps qu’on apsse avec certain doit rester précieux, peu importe ce qui en découle». C’est un peu comme ça que j’ai vu Doorbell, l’histoire d’un homme qui voit ses différentes incarnations possibles et où cela le mènera. La fin de sketch est de toute beauté car l’identité que l’on suit nous révèle être content d’être celui qu’il est. C’est pas mal touchant et innatendu, ça va expliquer quelque chose qui m’arriva plus tard.

Limit Cycle : Celui-ci m’a complètement comblé. Au début, je renchignais dans ma tête que depuis MindGame Studio 4oC avait arrêté de faire du gros expériemental, Shaghai Deathtic Tekkon et même Doorbell n’étaient pas assez «Far Out» pour moi. Ben là, j’ai vu Limit Cycle. Complètement anti-narratif Limit Cycle m’apparaît (et je dit m’apparaît parce que je crois foncièrement qu’il est impossible de commenter un tel film tant que l’on a pas vu 4 fois au moins) comme le mologue interne d’un homme qui discute avec sa moitié ou son double ou même son triple (car deux n’existe jamais sans trois) sur l’impossibilité et la necessité du UN divin. Malgré la nature divisée de notre monde, l’homme observe sur la nature foncière des parties connexes de l’univers. C’est très difficile à écouter (pénible pour les imbéciles(je sais que c’est un jugement mais pour eux j’excuse rien) qui on hué à la fin, comme si leurs goûts étaient les seuls qui comptaient. «On geule parce qu’on est venu à Fantasia pis Fantasia ça veut pas dire réfléchir devant une œuvre artistique, no ça veut dire beugler n’importe quand» (petite anecdote, cette année y’a même du monde qui ont ri pendsant l’écran FIVE DAYS LATER dans To Let, tsé l’écran noir qui te positionne dans le temps, ben y’a du monde à Fantasia qui sont amusés par cet écran))bon je ferme toute les parathèses ici)))) De retour à Limit Cycle, l’animation consistait d’un écran movible qui variait entre des images de synthèse style «Mainframe-Reboot» (un peu comme les représentations du virtuel informatique dans tout les films de Tron à Hackers, entrecoupé par des runeset des graphiques occultes. C’était super beau mais super déboucellant. Personellement, je vais le ré-écouter au moins trois fois avant d’en parler plus, mais j’ai aimé.

Happy Machine : Une ligne : LA GANG DE MINDGAME FONT DU JODOROWSKI, transcende l’ordinaire du cinéma d’animation.

Baby Blue : Bon celui-ci es tunique pour moi, j’ai été touché et ému par cette histoire d’un jeune homme qui apporche une amie d’enfance à l’école pour lui proposer de sêcher leurs cours et passer leur journée ensemble. J’ai pleuré incontrôlablement à la fin. Ca m’a fait réalisé fortement quelque chose que je savais intimement depuis longtemps. J’ai une peur horrible de ne pas affecter les gens que je rencontre, la vie pour moi ne sers qu’a affecter les auteres gens, de les faire voir de quoi de nouveau et de différent. Tout mon rapport au monde se situe dans le souvenir, je serais écrasé de savoir qu’une personne avec qui j’ai passé des moments mémorables ne se rapellait pas de moi. J’ai la conviction profonde que nous sommes tous ici ensemble et que les souvenir des gens qui nous on marqués sont ce qui nous fait évoluer, si c’est pas pour passer ce moment à un autre (probablement pourquoi je lis autant, partage de la mémoire collective). J’ai pleuré comme un enfant quand j’ai réalisé que c’est la croyance profonde du personnage principal, je m’était vu et ça m’avait touché.

Disciples of the 36th chamber

Peu importe que ce soit un vieux film, peu importe que Gordon Liu était présent (c’est vrai que c’est incoryablement cool, génial et unique comme rencontre) ce qui conte le plus avec les films de la Shaw c’est de les voir sur grand écran. Comme à chaque année, je le dit et le répète, les films de la Shaw sont des évènements incontournables du festival. Voir sur grand écran les films de cette époque fait ressortir leur qualité déjà grandiose. Il est impératif pour tout les fans du genre de se faire un devoir d’aller voir toutes les présentations de films de la Shaw que ce soit One-Armed Boxer (l’année dernière), Shaolin Temple (l’année d’avant) ou 8 diagram pole fighter (l’Année d’avant-d’avant) ces films prennent tout leur sens en salle. C’était génial, beau, bon, pas cher et unique, parce que si vous pensez qu’un autre cinéma va se donner la peine de nous offrir un si beau cadeau tel la présentation de ses classiques sur grand écran, vous vous fourvoyez solide le doigt dans l’œil !

(Ah oui pis Grig a posé avec Gordon Liu comme un petit garçon émerveillé.)

Les belles citations s'empilent

He's saying he's not going to reach out, that Obama has to come to him. One person told me that Bill said Obama would have to quote kiss my ass close quote, if he wants his support.
As much as you and I might think that Beer Pong - Frat Party Games is a brilliant idea for a WiiWare title, others disagree. One of those wet blankets is Connecticut's attorney general Richard Blumenthal, who thinks that the Teen rating from the ESRB wasn't the smartest move in the world. I might disagree, as kids should learn early that binge drinking is a fantastic way to kill a Thursday night/millions of brain cells/possibly the passenger's of the vehicle you're driving.
-Michael McWhertor


quelle phrase !

To Let


L’autre film présenté dans le cadre des Film to keep you awake

Hommage à Dario, pas grand-chose d’autre

lundi 7 juillet 2008

ALEX ! (ou comment je peut vous montrer à quelle point je suis une putain pour ce réalisateur)


Baby’s room
Pas que ça serait dommage, mais j’ai un peu peu que ça soit le meilleur film de Fantasia cette année en terme de pure qualité. Comme nous savons tous (hmm malheureusement je pense que c’est pas autant le cas que ça devrais) Alex de la Iglesia est un réalisateur de films de genre Espagnol qui commença sa carrière en étant le jeune poulin de nul autre que Pedro Almodovar! (dans le temps qu’il faisait encore des films excentriques espagnols avec Antonio Banderas qui jouait des meubles en cuir) Durant le long de sa carrière Alex ne s’est pas limité a un seul genre puisqu’il s’attaqua au western (800 ballas) le sci-fi (Accion Mutante), le whodunnit de palier (Mes chers voisins), clisse ya même fait un Mamet ! (Crimen Ferpecto).Cette fois-ci c’est au film suspense/horreur qu’il s’attaque. Dans le contexte de la série Films to keep you awake (qui ressemble un peu au Masters of Horror états-unien).

Ok soyons clairs, Alex de la Iglesia fait partie de ma liste de réalisateurs qui pourraient faire un projet de films sur les mariages gériatriques à travers le monde et sa m’intéresserait quand-même (d’autres sélects de la liste : Michael Winterbottom (et son documentaire en huit parties sur l’éléphant qui se dessine dans dans le sable) et Johnnie To(film introspectif sur un homme-tronc pris dans un bain sur pattes ) TOUS FICTIFS ! (y faut quand même le dire sinon on se fait blâmer de partir des rumeurs)

Wow je parle plus du film moi.

Si vous pouvez vous imaginer une union entre The Shinning, Primer et BeetleJuice, tout en étan tun comédie vous pouvez vous faire une petite idée de ce qui vous attends avec Baby’s room. C’est crepy a souhait, il s’écoute tellement bien et se situe bien dans la belle (mais rare) lignée des films d’horreurs plaisants à écouter tels Shaun of the Dead et De la muerte de l’amore. Une dégustation cinématographique qui balance parfaitement bien la substance et la saveur.

ok je veut voir ça à tout prix

Ça d'l'air déchirant et épique tout en restant humble et humoristique

hmmm

V. S. Ramachandran, the brain researcher, has a theory about the origin of laughter — that when you're in the jungle and there's an apparent threat, the first member of the kinship group to notice that it's not a real threat emits this stereotyped vocalization. And it's contagious, so everyone starts laughing. That's also the basis of the relief theory of humor, that there's a release of the energy you had summoned up to solve some puzzle. Kant said that the essence of humor is a strained expectation dissolving into nothing.

Jim Holt

dimanche 6 juillet 2008

And a taste of things to come...à ce qui attrait du 3 au 21


Bon c’est commencé, je sais que c’est souvent plus tôt pour plusieurs mais pour moi c’était hier (variation sur…many guns are the same but this one is mine…). Un samedi matin de test, suivi d’un samedi après midi sur mon derrière à me «buster» la crème de la crème du cinéma de genre. Comme j’ai déjà fait des réviews individualisés l’année dernière (à mon grand plasir et à celui de S.L.) je pensais en faire un tradition et le faire cette année aussi, ça commence bien, ça commence avec un ALEX !

mercredi 2 juillet 2008

J'ai découvert ça aujourd'hui


Découvrez Urban Species!


Ça faisait un tralée que je voulais me trouver un site qui pouvais servir pour «Uploader» des pièces sur le blog. Enfin...Deezer.com et ma première découverte...Urban Species. bonne écoute...ceci est un test de rendre PosteModerne un peu plus «Listener Friendly»