jeudi 17 juillet 2008

SPARROW

Comme dit auparavent, Johnnie To fait parti d’une catégorie de cinéastre qui, pour moi, pourraient filmer des hippocampes qui accouchent et sa serait toujours interessant. SPARROW n’est pas exception à la règle. Un film de pickpockets qui fait tout en son pouvoir pour être un film de Jacques Becker. Depuis le temps que l’on sait que les réalisateurs de Hong Kong trippent sur Alain Delon, SPARROW c’est l’ultime preuve de ce fait. Trois ans à faire, pis une référence aux films français classiques aux quinze minutes. Je suis heureux. Pour célèbrer le tout, ma liste des moment les plus fuckin’ cool du cinéma :

1- La conversation du début de Enfants du Paradis (…mais Paris est si petit pour deux gens qui s’aiment d’un amour gros comme le nôtre)

2- Quand HAL se fait débrancher dans 2001

3- La scène finale de SPARROW, la scène d’action la plus lente de l’histoire du cinéma.

Évidamment, il y de la place pour tout ce que ASH et SNAKE PLISKEN font à l’écran. Mais c’est vraiment une catégorie à part.

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