mardi 21 octobre 2008

As time goes by, in Mumbai


On compte les heures (en fait, je compte les heures)
Ca fait comme six mois que je suis parti, j'ai plus rien sur moi qui me rapelle mon depart. Mon linge a change, mes livres sont rendus dans le fond de monsac, tout ce que je fait maintenant c'est ecrire et dessiner. Mon linge est tout noir de salete et j'ai pas change de pantalons en deux semaines. Je porte plus mon sac a dos noir, j'ai une poche qui me sert a tout transporter. Je leve plus la tete quand on me dit HELLO et je regarde trop longtemps les indiens qui me regardent trop longtemps. Je ne paye rien plus que 1 tiers du prix car je sais qu'ils surchargent sur tout et ris a chaque fois qu'un indien me dit qu'un parcous de deux kilometres en taxi c'est 1500 rupies. Je porte des bracelets et des bagues, je me brosse les dents juste une fois par jour et je n'utilise plus de savon lorsuqe je me lave. Je pense de plus en plus que le papier de toilette c'est pas hyginenique (non mais on fait juste etaller avec ca) et ne fait plus confiance a l'electricite. Je commence franchement a me dire que Aquaman est vraiment un personnage geniel et que j'en ait pas lu assez dans ma vie. Je commence aussi a savoir que les gens qui me composent (car il faut un village pour faire un homme) sont genials aussi et que j'ai hate de les revoir. Je me leve le matin avec seul referend au passe, le visage de Marie qui dors maintenant une heure de plus par nuit que moi. Je pense au filage, le filage du monde et le filage qui sera dans mon appartement quand je vais revenir. Aujourd'hui c'est la sortie de FarCry 2, jeu auquel j'ai donne deux mois de ma vie et au-dessus de 500 heures. Rien n'est certain pour quant je vais rentrer pour oi, je sais meme pas si je vais etre capable d'avoir les memes conversations, malgre que je veuille immensement les avoir. J'ai hate aux parties de NHL et TNA, j'ai hate aux grognements, aux bears-hugs, j'ai hate aux emissions (je vous oublie pas) j'ai hate aux dejeuners, aux diners aux soupers. J'ai hate d'etre reconnu pour ce que je suis et non plus pour ce que ma societe projette comme image. J'ai hate de lire un comic. J'ai hate d'ecouter un film. J'ai hate de parler de comic, j'ai hate de parler de films. C'est dur de ce voir a 48 heures d'une nouvelle facon de vivre. On trouve que c'est long et ce l'est souvent. Mumbai c'est l'europe, une sorte de demi-mesure, salle d'attente qui est ni l'Inde ni l'Amerique. C'est une limbe qui fera en sorte qu'on ne passera pas du plancher des vaches au plancher des origanux en 16 heures de vol. C'est bien, mais nous avons tant vu et la chair est faible. On marche enfin dans une ville sans se faire hurler apres, mais ca fait juste rehausser le sentiment de retour immannent. Mon i-pod clignote, je sais bien que LAL va pouvoir m'aider avec ca. Hier je suis rentre dans un magasin de films, il n'y avait pas d'horreur, je sais que D va pouvoir m'aider avec ca. Plus tard, je suis rentre dans une pharmacie a l'entree il ya avait une grande affiche de Great Kali, hmm la lutte, je sais qui Grig va pouvoir m'aider avec ca. C'est comme si a chaque fois que je me tourne y'a quelque chose de plus qui me projette 8000 kilometres a l'ouest. Je pense a mon entourage comme les indiens pensent a leurs Divinites.
Ganesh = Prosperite, saint-patron de scribes
MC BrutaLLL et Scott Da Ros = saints-patrons de la poesie et du Rap.
Shiva, le destructeur = Schmoo, le conquerant
Chaque fois que je croise un bebe dans la rue je pense a lilie qui doit grandir au moment meme que je vous parle.
Les choses sont trops loins et trops proches en meme temps. Ca offre pas de place a la distance, je pense.

vendredi 17 octobre 2008

Ca aurait pu etre utile de le savoir avant


Apres tant de temps dans l'incomprenhension Marie, lisant le Lonely Planet de L'Inde du Nord me cite ceci :
"To augment your chances of reciving the most accurate response when seeking directions from people on the street, refrain from posing questions in a leading manner. For instance, it's often best to ask : ' Witch way to the zoo?' rather than pointing and asking : ' Is this the way to the zoo?' this is because you may receive a fabricated answer (usually 'yes') if the person can't quite decipher your accent or simply did'nt hear you proprely. There's no malicious intent in this misinformation- it's just that 'no' sounds so unhelpful
it's also worth nothing that the commonly used sideways wobble of the head doesn't necessarily mean 'no'. It can translate to ; yes,maybe or i have no idea."

Un mois de passe et on commence tout juste a faire du sens. Mais vraiment y faut que vous comprenez que le hochement de tete sur les cotes est tres souvent utilise et veut jamais dire la meme chose. C'est fascinant une fois qu'on le sait mais tres maleangeant quand on le sait pas. C'est un peu comme un mouvement fourre tout, que l'on peut interpreter comme l'on veut. Laurent, un suisse que nous avons rencontre a Jhodpur ( un suisse de Suisse pas un un rogeur de la famille des ecureuils) fait des belles observations sur son blog de voyage, on a parle longuement une nuit jusqu'a ce que les tenanciers de l'hotel viennent nous avertir d'aller se coucher. il etait 3 heures du mat'
allez lire ce qu'il a a dire au : Destination Inconnu
A part de ca, ca va bien, je continue en vitesse a traverser Goa, on a fait trois plages en tout qui nous on donne une imbression de Boucle d'or et les trois ours : ah non celle-ci est trop touristique..., celle ci : trop de vieux hippies et elle est sale en plus , ah ok celle-ci est juste correcte. Nous nous sommes donc resolus a rester a Anjuna, pres de notre hotel. Ca sera notre dernier soir a Goa ce soir, demain, l'entree a Mumbai !

Des photos que j'affectionne particulierement




Bon j'ai vu WANTED

(Ah oui pour mes parents...ici je parle de comics, rien avoir avec le voyage donc vous pouvez continuer a lire plus haut)
Sur une terrasse a Goa, on peut ecouter des films le soir, ils passent Wild Hogs, Borat et tout et tout, mais hier soir Marie er moi sommes alles voir WANTED (l'ouvre de Timor adapte du comic de Mark Millar et J.G.Jones)
Bon moi j'ai pas de troubles avec le film en soi-meme, malgre qu'il soit une autre oeuvre qui passe seulement le test de l'excuse Papoosienne (Constantine, c'est un bon film si on pense pas a la BD) WANTED est un bon film si on pense pas a la BD. L'Affiare qui me trotte dana la tete est le fait que Millar a dit que le film etait ecrit avant la BD mais que le film n'a pas la meme conclusion que le livre. Il dit aussi que l'idee de l'histoire lui est venu lorsqu'il trouvait une maniere de faire finir le livre qui ne finit pas comme le film. Peut-on donc croire que Millar est full-of-it la-dessus ? J'en reparlerai surement aux Mysterieux Etonnants !

jeudi 16 octobre 2008

More of youa in Goa


Ca s'en viens, ou plutot moi je m'en viens. Il nous reste six jours avant notre retour et le temps ne se fait pas long mais pas assez court, un peu comme un chat qui s'etire au soleil, c'est pas vraiment comme s'il devenait long mais il prends plus de place. Je conduis a tout les jours (notre petite moped a 160 rupies par jour) et je revasse. Le retour ne s'averera pas plus facile que le depart en terme de travail mais pour l'instant on balaye ca sous la moquette de sable qui se deversa a nos pieds. Je pense souvent a ma famille (et sachez que ma famille compte au moins 30 personnes si je compte vite) je reflechis de moins en moins a combien je m'ennuis mais pourquoi je m'ennuis, chaque personne qui languit dans mon esprit deveint un symbole de quelque chose que j'affectionne, je ne m'ennuis plus videment je m'ennuis pleinement des gens qui sont loins. Conduire a tout les jours me rapproche de mon pere, je sais pas pourquoi mais c'est comme ca que je me sens. Je viens d'une lignee paternelle d'hommes des metiers, qui construisent et reparer et conduisent beaucoup. J'ai toujours eu une reticence envers la route, aujourd'hui cette reticence change et je pense au legue de mon grand-pere, arriere-grand-pere, longue lignee de Man's men. Je suis rendu a mes dernieres lectures (Angel of Darkness de Caleb Carr, que j'ai ramasse a Ubaipur) et mes dernieres ecritures, mes derniers dessins, mes dernieres grimaces. On anticipe l'arrive a Mumbai comme chaotique, nous avons fait escale dans la ville avant de venir ici et nous avons pu voir comment vibre la ville. Je suis un peu brule sur l'entierete de mon corps, le soleil ici ne pardonne pas mais les fruits de mer eux aiment mon estomac qui les remercie de la douceur. En sandales, mes pieds vont merveilleusement bien, mes chandails sont devenus commes des armures devant Sol mais aussi des etandars de ma personne (Jim MAhfood et the Duke, The dude Lebowski, Spock, tous des icones, des sigils qui me gardent bien encres en moi). Impossible pour moi d'arreter d'ecouter du peaches et du electric six.

Discover Electric Six!

mardi 14 octobre 2008

Bon je pense pas qu'on a surpris tant de gens que ca mais pour ceux qui se sont donnes la peine d'ecrire je vous expliqu...erai. En fait c'est trop long a expliquer le tout du comment du pourquoi et surtout du comment sur ce blog. Les histoires sont trop nombreuses et trop colores pour le etaler ici en file. Nous allons bien, meme tres bien depuis deux jours malgre le transport (nous avons quittes Udaipur le 12 a 19:45 et sommes arrives a GOA le 14 a 9:00. Le transport fut decapant, rien de tel apres un ceremonie ravissante de ne pas se brosser les dents ni prendre une douche ensemble, certains dirons cyniquement (dont mon cynisme) que ce sera les fondements de notre vie de maries. Meme quand on Pu.

dimanche 12 octobre 2008

111008

samedi 11 octobre 2008

Guns, cars and Punjabi's !


Ouais ca commence a devenir coutume de me faire offrir de la drogue dans la rue. Ca doit etre la barbe ou le look slacker que je porte si bien. Il y a toujorus un chuaffeur d'auto-rickshaw qui s'approche de moi tres subtilement et me glisse un : "smoke...drugs?" dans l'oreille. toujours par la negative, je lui reponds, on entends trop de mauvaises histoires liees a cela depuis Midnight Express et j'ai aucun envie que mon voyage en Inde passe de Mamet a Friedkin. J'achete Angel of Darkness (caleb Carr)aujourd'hui car j'en suis presque a la fin de Catch-22. Udaipur est une ville sensationelle pour la culture. On a qu'a lever la tete haute sur un toit d'hotel pour voir une dizaine d'hotels qui font jour Octopussy tout les soirs des 7 heures. Un poulet Tandoori et un Roger Moore qui commence a prendre de la ride, c'est tres acceuillant. On trouve plein de livres fait a main ici, des reliures de cuir et des livres superbes, les choses se passent exceptionellement bien ici, les evenements sont en motion, je devrais entrer dans une autre partie de ma vie ce soir. On se promene beaucoup, on rencontre une multitude d'Indiens aimables. La descente vers Goa s'avere difficile mais on est bien reposes. Rien ne reste du pareil au meme, tout les jours on est confrontees a quoi de nouveau mais le temps et l'expertise nous rendent de plus en plus au aguets. Je pense de plus en plus a ma maitrise qui devrais porter sur l'Immersion narrative : quand vivre une histoire devient plus importante que vivre. On voit beaucoup de ceci ici, malgre que nous sommes loin de WoW. les gens vivent jour apres jours dans des celebrations pour leurs Dieux, qui sont les heroes de leurs histoires (on joue meme des teleromans a tout les jours qui le met en scene). Hier c'etait la fin de la celebration pour Durga (PArvati, Sarsiwati, Kali en trois incarnations) et on commence une autre celebration des demain. L'autre bord du globe devient lentement familier. Les inquietudes de mon autre vie me ratrappent, je ne veut pas trop y penser mais je sais que dans 11 jours ma vie reveindra me voir et j'aurai a y repondre.

mardi 7 octobre 2008

Endemik's my soul brigade

Dans les bus, j'ecoute du Endemik musik.
Et m'imagine que c'est premiere fois que les ondes
De Scot Da rOs, BleuBird et Filkoe
Arpentent les arrides sols de ce desert, comme
Les premiers pas dans un temple le matin

je sais pas quoi ecrire


Non serieusement je sais pas quoi ajouter ici, je voyage encore pas mal fort, moi et marie on ne reste pas en place plus que cinq jours. L'introspection a laisse place a la realisation, on regarde moins le sol et plus les gens. De la tete basse nous avons passe a l'echine droite. Le rues et le monde se concretisent, les choses commencent a faire du sens. J'ai de plus en plus d'aprehension de revenir a un monde ou les choses font moins de snes que ici. Le choc sera des deux sens. Peu a peu je realise les choses que je prenais pour acquis, je pose des questions que je me demandais jamais auparavent, je veut enfin des reponses. En hindousime le monde est separe en quatre Yugas qui sont refletes par des ages de l'univers, j'entre dans un nouveau yuga de ma personne. J'ai hate de revoir des gens et je sais pourquoi, chaque jour je me retrouve non plus de mon quotidien mais plus precisement de ce que mon quotidien m'offrait. Je medite sur des choses, sur des gens et je revois les beautes de ma chance des avoir pres de moi. Tout ce replace mais le temps passe trop vite, j'ai l'impession que la premier semaine durait un mois et que les semaines qui on suivi etait longues de trois mois chaque. Je recoit des nouvelle de mon Dunyha (monde) et ca me fait sourire. Loin de moi la panique je suis heureux de savoir quel les choses sont plus en place. Si vous suivez le blogue de Marie-Eve (machante capitaliste, sur ma barre de cote) vous avez evidamment plus amples details sur la progression du voyage, ici je parle de ce que l'on voit pas sur les photos. Les dechirements, les brisures, les fracas. On continue a ce tuer ici, j'ai aucune idee comment le prendre, c'est les musulmans contre les hindous contre les chretiens, les nouvelles sont terribles. Pushkar, une ville que nous avons pas visite, nous etait raconte hier par Laurent. A Pushkar durant une ceremonie pour Ganesh ils ont lance les statues de l'occasion dans leur lac (comme il est coutume de faire apres un fete). Les statues etaient peintes avec de la peinture toxique, le lac est maintenant empoisonne. Je suis a Jodhpur maintenant et par la fenetre de ce petit cafe internet je vois le Chamunda Devi, temple qui 5 jours auparavent s'est vu objet de desastre lorqu'un mur s'est effondre sur 261 personnes... il y a toujours un histoire en Inde, la poussiere qui couvre tout est le legue de cette histoire, rien n'est neuf, rein n'est propre ici tout porte la marque du temps. Deshnok et Balaji sont les deux evenements marquants jusqu'a present. Deshnok un templs qui abrite 15000 rats, m'avait ete conseille par Bobby (grand voyageur et renaissance-man de notre epoque) j'ai rencontre les plus gentils indiens, c'est une autre belle histoire. Balaji, un temple oul'on conduit des exorcismes, les mots me manquent, je n'ai rien a ecrire sur cette experience, je tenterais peut-etre un jour mais pas maintenant... un homme a jodhpur m'a confirme que je serai toujours confus, je poserai toujours trop de question et que je serai jamais en paix, ca sera ma perte. C'est drole car j'ai tres hate de rentrer a la maison pour continuer des projets commences, rien de nouveau pour moi dans le futur, juste la completion et la progression de choses que je laisse incomplet depuis maintenant trop longtemps. (en consequent il me dit aussi que je serais probabalement un homosexuel refoule, donc je suis pas trop sur pour tout ca). J'ai presque fini Midnight's children, je me baigne une fois par jour quand je le peut et me rends compte que l'eau est probablement un des elements les plus protecteurs (je me rapelle ma mere qui me raconta que durant mon enfance je coulais comme une roche des l'immersion et la fois que mon pere m'a sauve d'une noyade certaine lorsque j'etait tres jeune, mes souvenirs me revienent mieux qu'avant, heureux ou tristes il me renforcissent comme un ciment entre les birques de ma personne). J'ai pas atteint l'illumination Karmique et je crois plus a cette atteinte, je vois plusieurs touristes qui marchent dans la rue, le sourire beat mais vide comme Patrick Swayze dans la Cite de la joie et me dit que cete forme de Baghavat (bienheureux) n'est pas pour moi. La retraire spirituelle qui est l'inde pouvait etre allechante, de revenir en buddha sur son lotus, gave de jus frais et d'ombre sous l'arbre, mais je me rends compte que je ne suis pas fat pour cela, le choas, le mouvement et l'action seront toujours mes havres de paix, j'ai encore plusieurs annees de Drunk-On-Mouvement devant moi. Ganesh s'est un fois de plus manifeste a moi comme l'ouvreur de porte, il me pointe une porte que j'avais ouvert a moitie et m'incite a continuer mon ellipse d;ouverture pour qu'elle soit grande ouverte. C'est rassurant, c'est reposant. Je suis dans un pays qui ne fait pas de sens mais qui commence a en faire, dans un pays qui est remplie d'inegalites mais qui commencer a mon montrer le communisme fonctionnel, dans un pays qui est sale mais qui ne devrais jamais etre lave. Je vois des beaute dans la merde ou j'ai les peids. De Ishtar je suis devenu Padma, la deese du lotus qui est aussi la deese des excrements, car rien ne pousse sans la bouse ici, de meme que nulle part d'autre sur terre.

samedi 4 octobre 2008

Bon j'y pense depuis un moment



egalle

?

Au debut, je tentais bien et mal de faire du sens de ce monde, comme je suis de ceux (les elus comme dirait certains) qui croient que Star Trek a tout explique dans l'univers, je tentais d'expliquer le monde de l'Inde par des metaphores Trekkiennes. La corruption et les passes-d'argent, auquelle j'ai ete si souvent victime, m'ont immediatement fait faire la correlation ci-haut. Le profit est sans contredit une des choses les plus cheres aux Indiens a un point tel qu'ils offrent systematiquement de nous amener a une choppe (bon prix) a chaque fois que l'on embarque dans un Rikshaw. Ou meme qu'on nous dit que nous devons aller a un autre station de train pour prendre notre navette car la gare ou nous somme ne fait plsu l'affaire pour des passagers comme nous. Dans les ruelles, les gens m'offrent du Hash, de la Smoke (?) et de l'opium. Les regles de l'economie locale sont tous orientes a nous faire depenser dans les produits de leurs frere/oncle/pere/baba. Avec le temps, je me suis mis au parfum, mais j'ai toujours conserve l'idee que les gens de l'Inde vivent sous une sorte de "Rules of acquisition" bien personelles. De plus en plus que je me visualisait les Indiens avec ma lucarne de Star Trek, le plus etais-je apte a prendre leur tournures de phrases qui portent a confusion, leur attentats de nous ammener plus loin que demande et de nous offrir : "les plus belles choses que l'Inde a a offrir". Meme que a ce jour, je les trouve noble d'opere de cette facon, car Star Trek m'a bien appris. Les choses que nous avons de la difficulte a comprendre se synthetisent mieux quand on utilise des reperes familiaux. De cette maniere j'ai fracasse un mur que je croyais infranchissable, celui qui m'empechait de comprendre ce qui se passait, pour faire de moi un touriste plus adapte. Star trek m'a bien aide jusqu'a ce moment a combler des trous avec de la fantaisie. Mais au que ma surprise fut grande lorsque je commenca Midnight's Children, de Salman Rushdie pour lire a la page quinze :
" There is a tribe of feringhee women who had come to this water to drown"
Il s'avere que les feringhee sont un vieux peuple jain, qui comportait un plus grand nombre de Vaishya (la caste commercante) que les autres peuples, le profit etait dans leur sang, car ils s'en servaient pour profiter a leur communaute, valuer que l'on voit encore rependue dans l'Inde. Celle d'une vie communautaire et familiale tres accentuee sur l'aide. Quark est vraiment une source d'inspiration, voici qui termine mon analyse, je pense que je m'ennuis pas mal fort de DS9...

musique part deux

Vraiment etrange d'avoir Fuck or Kill de Peaches dans la tete pedant deux jours en Inde...je fait juste dire

Discover Peaches!

je suis sur que ca fait quand-meme plaisir a une ou deux personnes de che-nous

vendredi 3 octobre 2008

mes livres



C'est en prennant cette photo que je me suis rendu compte a quel point les livres que j'avais choisi etaient judicieux pour ce voyage. Malgre le fait que Arseneault trouve ca amusant que je lise du thoreau en Inde (pas assez d'arbres je crois bien) ces livres ont etes pour moi des veritables bouees de sauvetage. Ils m'ont permit de me hisser sur quelque chose de concret (assez concret pour les avoir etudie si longtemps). Stone of Summer etait merveilleux, un vrai bon livre comme ca faisait longtemps que je n'avait pas lu. J'ai pris six jours pour le devorer et mainteant je suis sur Midnight's Children pour me plonger un peu plus dans la litterature indienne.

dans la tete..

De Leonard Cohen a Davendra Banheart
De la tounne de RACE a Beau Dommage
les chansons qui me bercent et me reviennent me font du bien
mais il font vraiment peur au gens quand je les chante en public