dimanche 29 juillet 2007

Donne-moi des explications

Effectivement, c'est pas parce que j'ai rien à dire, ou parce que y'a pas d'articles que j'ai le gout de partager avec vous. Je blogue pas depuis une semaine pour une raison bien précise. Trop grognon pour blogger. Je vous revois plus tard.

mardi 17 juillet 2007

Your mood...

Je réalise de plus en plus que toutes les utilités que j'utilise quotidiennement (myspace, facebook, blogspot....) sont rendues avec un "baromêtre du mood". Messenger à ses émoticons aussi, chaque fois que l'on LOG IN quelque part il faut aussi ajuster notre sentiment par rapport à nous, notre vie, qu'Es qu'on vient de manger, notre sentiment personnel par rapport à l'immensité de l'univers et Paris Hilton. Bien sûr c'est comme si tout l'émoi et la discorde intérieure de ma personne peut être résumée par un simple petit : - P. Yeah Fuckin' Right. Ca fait maintenant 11 heures que je suis derrière mon comptoir de vidéo. On m'a parlé de Bavarie pendant une heure tantôt et j'hallucine des bébés cochons partout. Si quelqu'un désire vraiment savoir comment je me sens c'est exactement comme ça :

dimanche 15 juillet 2007

Excité ?














Tatjana Kraslova et son PowerBook


C'est génial de ce réveiller trop tôt à tout les dimanches matins pour aller travailler et mettre à jour son blog. Particulièrement dans les cas ou les étrangetés de l'internet se projettent dans ma tête à trois fois la vitesse de la lumière. Cette semaine un site internet danois de photographies de filles qui détruisent leurs laptobs leurs IMac et leurs Ipod en bikini ! Maintenant autant que la possesion matérielle est représentative de culture et de comfort social, la destruction de cette même propriété devient un tabou sexuel. Vraiment génial !

Plaisir pour tous ici : www.bikinirama.db

Et pour l'étrangeté

C'est génial de ce réveiller trop tôt à tout les dimanches matins pour aller travailler et mettre à jour son blog. Particulièrement dans les cas ou les étrangetés de l'internet se projettent dans ma tête à trois fois la vitesse de la lumière. Cette semaine un site internet danois de photographies de filles qui détruisent leurs laptobs leurs IMac et leurs Ipod en bikini ! Maintenant autant que la possesion matérielle est représentative de culture et de comfort social, la destruction de cette même propriété devient un tabou sexuel. Vraiment génial !

Plaisir pour tous ici : www.bikinirama.db

Mur














Jim Mahfood bédéiste extraordinaire présente pour deux jours seulement sa murale pour Colt .45 dans Brooklyn

Notre petit extrait ModBlog de la semaine

Fantasia semaine 2


: semaine 2 de 3 (partie 2)

Km 31 :
Malheureusement j'aimerais pouvoir dire que j'ai manqué ce film mais c'est pas le cas. Km 31 est un exemple parfait de mon incapacité de voir un film d'horreur Européen à Fantasia et ne pas m'emmerder. L'année passée on m'avait eu avec l'ennuyant film portugais : Bad Blood. Cette année c'est le mexique qui branle-patte avec Km 31. Ce qui aurait pu être un bon film est devenu une heure et demi de ma vie que je ne retrouverai plus. Un chamaillage de mavais clichés : petit enfant toutnu qui fait peur, lieu étrange ou des choses étrages surviennt, sorcière qui doit accomplir un pacte de vengence pour être enfin en paix... Seulement de remâchage de vielles idées sans but ni créativité associés. Mais mon courage ne fléchit pas après la projection on se rend à :

The Road to Nod :

Pour compenser, voici, pour moi la découverte du Festival. M.A. Littler nous en met plein la vue avec ce roadmovie biblique. Filmé dans un impeccable noir-et-blanc ce film s'écoute comme du Jarmusch et du Gallo de genre. Lent et introspectif on aurait pu s'attendre que ce film joue au Festival des films du monde ou au Nouveau cinéma et nouveau médias mais c'est Fantasia qui à eu la chance de le présenter à ces auditeurs. Il me semble étrange que le film le plus artisitquement viable que j'ai vu à fantasia (ici on exclu tout ce que j'ai pas vu) n'ait aucunement été couvert par nos journaux culturels, il semble que ce film soit destiné à rester un secret très bien caché. La salle était sidèrée tout le long de ce merveilleux voyage, on ne pouvait entendre aucun bruit. Pour citer l'annonceur qui l'a dit mieux que moi : "Surveillez vos écrans dans les 2 ou 3 années à venir. Le nom M.A. Littler sera dans très peu un des grands du cinéma indépendant moderne. The Road to Nod est absolument à voir pour tout bon cinéphile et sera disponible sur leur myspace : www.myspace.com/theroadtonod

After this our exile :
Ce drame chinois raconte l'histoire d'un père de famille médiocre (joué par la fulgurante pop-star Aaron Kwok) qui tend dur comme fer de conserver son fils dans sa vie après que sa femme le quitte soudainement. Un drame incroyable et émouvant. Un film de personnages comme on en voit très peu. Décrire le film serait l'énontiation d'une déchirure. Le film nous scie en deux tout le long de son déroulement, qui à tors, qui à raison et qui seront les victimes dans cette histoire ? Vraiment incroyable.

Stalker :
Une monumentale occasion d'aller voir ce classique du cinéma russe sur grand écran. Autant qu'il est possible de louer Stalker dans tout bon vidéo, voir le film sur grand écran est un honneur. Rien ne peu accoter la possibilité de voir ce film, d'une écoute sans interruption avec un son panoramique et un salle sidèrée. Vraiment, Stalker reste pour moi une des belles expériences de Fantasia. Vu la popularité de la projection, une autre représentation est scédulée pour lundi, donc pour ceux qu'il l'auraient manqué, ne manquez pas votre dernière chance.

Mon petit dernier pour la semaine...
End of the Line :
"Les films d'horreur servent pas uniquement, mais en grande partie, a mettre en scène les problèmes sociaux que l'on peut pas questionner ouvertement." J'ai lu ça en quelque part il y à pas trop longtemps et c'est ce qui décrit End of the Line parfaitement pour moi. End of the Line approche le sujet de l'intégrisme religieux d'une façon complètement originalle, par le biais de l'horreur. Ça faisait au moins depui God told me to et Silent Hill que j'avais pas vu un film de genre utiliser ces codes pour s'attaquer à l'intégrisme. Des religieux sont convaincus que l'Apocalypse est à leur porter, ils se donnent donc comme mission de tuer tout les infidèles avant que Satan puisse s'emparer de leur corps. Un brillante prémisse et un film parfaitement réuissi de la part de Maurice Deveraux, réalisateur montréalais, qui pour des raisons de finances ce doit de tourner en anglais à Toronto. Le suspense est tranchant et les méchants sont des zombies avec une sur-sympathie et une énorme volonté de sauver les gens du mal (ce qui les rends encore plus freaky). Un excellent film d'horreur que l'on oublie pas immédiatement àprès être sorti de la salle. End of the Line fait peur et fait réfléchir en même temps. Si l'on veut véritablement que le cinéma québécois se démarque c'est des réalisateurs de vision comme Maurice Deveraux qu'il faut encourager.

mardi 10 juillet 2007

Volonté de création

Je parlais avec Randal, mon prof, hier et il me racontait que l'humain à une envie et même une pulsion de création et d'accomplissement que l'on pouvait observer chez l'humain. Comme de raison je suis parti chez moi le soir même la tête pleine de cette reflexion. Randal, lui, avait accompli cette pulsion de création à 25 ans, ou pour faire sa troisième dans de cieture noire son prof avait requis de lui qu'il crée un style d'art martiaux. De cet examen est venu le combinado (un art de cominaison des styles, très efficace, fun à pratiquer.) Tout cela pour dire que je me lance dans mon acte de création trop longuement retardé. Vu que j'opère plutôt en bandes dessinés je crois que je vais commencer dans ce médium, qui sait ou ca me mènera. Ce blog, comme tout me servira dans ma démarche et à garder le focus sur mes projets.

Fantasia semaine 2

: semaine 2(partie 1)

Hier soir : AACHI & SSIPAK



Allons pour le premier film de "party" du festival. Le monde hurlait incontrolablement dans la salle mais c'était le moment parfait pour le faire. Brèvement, Aachi&Ssipak racontre l'histoire de deux personnages qui atteingnent la richesse en exploitant une femme qui transforme ses excréments en pop-sicle. Les popo-sicles, dans cette société futuriste, son des denrées très rare et très précieuses particulièrement pour le clan des "diapers" (petits mutants qui on le malheur de ne plus chier). Un robot policier s'occupe d'éliminer ces petits mutants. Voila apporximativement le résumé du film. Assez simple mais absolument génial. Sans trop rentrer dans le facile le film se permet plein de "gags" scotto et phalliques (les décors sont parsemés d'anus) qui parodient l'obsession actuelle pour l'argent. En plus, le réalisateur offre un petit extra pour ses auditeurs avide: le film est rempli de réfèrences. Une aux deux ou trois minutes approximativement allant de Die Hard 3 jusqu'à Fight Club. Le film s'improvise comme une toile gigantesque constituée d'une myriade de moments prèfèrés d'autres films. Un plaisir à l'écoute en masse.

dimanche 8 juillet 2007

God punished hip-hop with me



Crossing the Bridge de Fatih Akin

Foudroyant documentaire mettant en vedette Alexander Hacke du groupe Einsturzende Neubauten. Le film porte sur la musique d'Isanbul. On voit la scène musicale absolument inconnue des nord-américains se dérouler devant nous artiste par artiste. Un documentaire comme ceux-la me rappellent les raisons pour lesquelles nous faisons de l'art et plus personellement pourquoi j'aime tant la création. Dans un environnement ou tout est rendu une industrie ou du Big buisness il est facile d'oublier l'esprit original et la volonté de la libèrér. Mon sentiment peu sembler un peu romantisé et redondant mais en voyant les artiste du docu, ça m'a vraiment frappé comment tant de gens continuent encore à faire de l'art altruistiquement. Des artistes comme Ceza, Baba Zula et Orient Expressions sont définitivement des noms que l'on va surveiller dans les années à venir.

Fantasia semaine 1


:semaine 1 de 3

On commence une fois de plus notre gallère annuelle de Fantasia comme toujours. Frank, Grig, Marie, Simon Perotte et son dude, moi y compris en ligne à 12 pour acheter nos billets avant tout le monde. On à notre argent et notre liste dans les mains, tout ce qui nous manque c'est la patience. On jase de geekeries et on compare nos films (ah toi tu va voir ça...ah cool...attends on y va le même soir ? on fera la ligne ensemble...et tout ça)

Premier film: TeKKonKinkreet

Sachant il y a deux ans que MindGame avait gaché le festival pour moi (pas parce que c'était mauvais, bien au contraire, à cause de sa trop grande qualité rien d'autre ne pauvait y comparer) j'entre à TeKKon avec les attentes les plus hautes. Aucunement déçu à la sortie je suis même surpris de ce qu'on m'a montré. Un film émotif et émouvant sur notre aptitude à la l'innocence béate et à la noirceur misantrope la plus profonde. Complètement ému et flottant je me dirige vers le party d'ouverture très hip et c'Est la fin de mon sentiment de flotter. TeKKonKinKrEET ne joue qu'une fois durant le festival et je prévois au moins un prix pour ce film

Le lendemain...

TIME de Kim Ki-Duk

Le film le plus habilement réalisé que j'ai eu la chance de voir de ma vie. Une réuissite considèrable pour un réalisateur déja maintes fois acclamé (Printemps, été, automne, hiver, printemps...Bad Guy, Samaritan Girl, 3-Iron). Habile....Habile...habile, c'est inroyable comment cet auteur réuissi à surprendre avec chaque film. Un étrange film psycho-sexuel-relationnel qui ressemble à un hommage monumental à Vertigo et l'Appartement de Georges Mimouni. Fantastique film.

Dog Bites Dog de Soi Cheang

Amoral...inconditionnellement Amoral. Superbement réalisé avec les plus beaux effets de lumière que j'ai vu depuis longtemps. L'histoire attroce d'une chasse à l'homme entre un policier de Hong Kong qui doit gèrer le fait que son père est un policier déshonoré et corrompu et un assasin Cambodgien qui à été élevé dans des camps de combats organisé. Dur film brutal.

ModBlog

Ça faisait un bon bout de temps que j'avais pas été sur ModBlog. Comme toujours, c'est très éducatif et perturbant mais d'abord et avant tout je trouve ma lueur d'espoir pour la journée à venir, l'image qui va me conserver de bonne humeur.

Encore des idées à l'appui

Comme vous savez pas mal tous. Je m'interesse beaucoup dernièrement à la relation qui existe entre les médias et les gens. J'ai l'opportunité dernièrement de férenquenter des gens qui composent les médias actuels montréalais et de les observer dans leur climat habituel. En fait, ce qui m'interesse plus particulièrement est la relation médiatique avec l'internet et le cerveau humain. Ce matin, Schmoo, un ami personnel, m'envois ceci d'un article de jeux vidéos japonais:

"Rascist paintjobs slip through Forza II Moderation"


Comme quoi on peut se croire plus civilisés que l'on ait et que des vieux réflexes comme le rascisme ne peut que se camoufler mais jamais disparaître.

mardi 3 juillet 2007

ah HA !

Les autorités politiques, la semaine passé, on enfin mis en circulation les documents secrets de la CIA. Cet révélation, initiative du NSA, à permi au peuple de prendre conscience de plusieurs complots à travers les années, dont plusieurs impliquaient l'assasinat de Fidel Castro. Cette semaine ceci :

"Une Montréalaise sujette à son insu à des expériences de lavage de cerveau menées par la CIA dans les années 50 a accepté les termes d'une entente à l'amiable conclue avec le gouvernement fédéral."

FUN !

Une soirée de Solistes

Un "pannel" hallucinant d'artistes hier au Zoobizzare. Soireé très particulière avec de belles surprises.
Dès 10hrs BleuBird(qui délaisse son équipement habituel pour le remplacer par un CD de Karaoke dance) démarre avec son rap habituel. On entend des succès nostalgiques en arrière plan lorsqu'il livre ses textes corrosifs et subversifs uns après les autres. On à aussi la chance d'entendre un texte biographique sur la carrièe de Mc Hammer, de ses débuts de jeune rapper jusqu'a sa re-découverte du Christ et son inévitable faillite fiscale, un chef-d'oeuvre musical tout cela sur la version Karaoke de Can't touch this. BleuBird termine son set semi-baveux semi-surréel avec la lecture des nnoms des soldats décèdés durant le mois de juin en Afganistant. Peu d'instant après lorsque tous étaient convaincus de la fin de la performance et qu'on attendais sans patience le moine auto-sacrificiel, son rappel consista à s'acharner sur les auditeurs en les incitants viollamment à lire plus de livres.

Suite complètement différente : Cette fois-ci la scène appaartient à Jenny Omnichord, jeune membre de Barmitzah Brothers. Ce soir, elle est seule au clavier. Performance sympathique d'une jeune fille clairement vivant dans son monde onirique. Une petite éffluve de Miranda July-erie dans ses chansons. Elle couvre trois succès"Where's my mind? de The Pixies d'un façon très adorable

Elle présente notre invité d'honneur comme l'homme qui saigne des roses. WAX MANEQUIN embarque sur scène. Des fantomes se sont emparés de ses pédales et causent le son à fléchir. Après la troisième chanson sa voix semble le laisser. Il s'adonne donc à nous livrer des versions "Blues-voix-de-Tom-Waitts-après-une-journée-de-rouleuses" de ses chansons. "Almost Everyone" est époustouflante je me mets presque à pleurer dans la salle. Pour se montrer de bonne fo et ne pas défaire l'enthousiasme de la foule qui semble l'aduler il fini sont spectacle avec deux chansons très rock et s'assure de crier le plus qu'il peut le seul cri que ses cordes vocales lui permmettent. on sent tous la douleur dans la salle lorsque sa voix brise. Il remercie tout le monde très gentiment, se "calle" un verre complet de Wiskey et descends voir les gens qui applaudissent. Belle fin de soirée pour de bon spectacles