lundi 29 septembre 2008

ma trinite...HIC


(i fell like a little dog next to a big f'n Shiva)

Shakti HIC... shakti HIC...

Sur le bord du Ganga Beach, je souriais, mon cynisme de retour je pouvais enfin voir les choses tels qu'elle sont. Serieusement, pour ceux qui s'y prennent la tete a croire que le cynisme n'est qu'une reaction negative et superficielle par rapport au monde et que l'on devrait continuer a 'siroter nos petits jus d'orange doux du matin' vous pouvez serieusement vous perdre dans el traffic. Le cynisme permet une vision externe du monde, une vision qui nous montre plus ce que nos impressions nous permettent de voir, c'est voir el monde comme els autres peuvent le voir, parce que c'est le voir de tout les angles (souvent en choisisant l'angle qui est le plus mechant, je vous le concede mais c'est souvent celui qui est le plus honnete). Donc, j'etait au resto, sirotant un jus frais avec Marie-eve, assise pres de mon cynisme, maintenant rendu une entitie distincte, comme mon humour et mon imagination. Je regardais l'Inde...ah l'Inde, l'Inde....Nil nil, mere de l'Egypte (perdu dans Asterix & Obleix: Mission Cleopatre, ca m'arrive souvent dernierement...) Mon cynisme se tourne et me regarde dans les yeux, il fume la cigarette et pete lorsqu'il pratique son yoga (tout en cacofonie aussi, pas d'affaire de se laisser aller en silence entre deux poses, hypocritement comme plusieurs le font) Il se tourne, me regarde et dit :
-"Penses-tu pas que ca doit faire bizzare de voir des blancs venir vivre ta vie comme si c'etait des vacences ? Venir faire deux semaines de yoga, une session de Reiki pis apres ca de se dire qu'ils ont vecu l'experience indienne ? Tu penses pas que les locaux eux ils en on assez des touristes qui viennent se laver la tete dans l'eau du Gange avec un sourire beat imprime au visage, les yeux un peu croches, les bacteries deja bien corrosives dans leur globules vitrueux, de retraite spirituelle (double sens...BAZING !)"
-"Shit, t'a raison Cynisme, je suis sur que y'a du monde qui voit ca de meme. Man, ca doit etre fatiguant de voir des gens venir chez vous pis prendre ton style de vie comme un safari spirituel. Comme un St-Felicien de la Moksha ?"
-"Ca doit etre ca tout le monde qui entre pas dans le centre-ville" me dit Marie,s'installant confortablement a la conversation. Elle aussi l'a probalement senti.
-"C'est sans doute a la racine de la gueree entre les hidous pis les chretiens dans l'est du pays, ca pis la conversion des Intouchables, qui va laver leurs bols" dit franchement Cynisme
-"Ouais, j'imagine, un million d'Italiens qui viennent chez nous pour manger de la tire parce que ca donne des pouvoirs surnaturels" replique mon Humour qui regardait les singes sur le bord du pont.
-"Parce que tu sais Jean-Michel, quand t'es monte en haut du temple, hier apres-midi, pis que t'avais monte toutes les marches, pis que t'avais sonne toutes les cloches, pis que t'avait peur des hauteurs tellement le Gange etait bas et que les montagnes etaient hautes pis que le ciel etait bleu qu'es qui t'attendait en haut ..."
-"Un indien qui voulait de l'argent" repondit-on tous en coeur !
Il est maintenant, sans questionnement possible, un fait verifiable que partout dans le monde, lorsque quelqu'un boit un cafe Starbucks, un indien le pisse dans la rue simultanement.
"Rien ne se perds, rien ne se cree, tout se transforme"

dimanche 28 septembre 2008

The great North-American Sweat Elemental

a 2000 metres du niveau de la mer. dans la cite des nuages.
ca meurt encore ici, comme j'ai pu l'entendre mais les soucis se sont disperses depuis bon moment.
Assis au Ganga beach cafe je me refais, les jus ici son magnifiques et me remplissent de vitamines bien necessaires pour le restant du voyage, je me situa dans un futur rapproche, je serai dans le montagnes, encore plus de calme.
Avan de partir je me suis rapelle une question que Francis m'avait pose : QuJe me suis donc reveille dans un taxi trop chic pour moi en plein milieu d'un plateau de tournage d'Indianna Jones, sans camera, sans plateau de tournage, les vigurants etait vrais. Les poulets morts sur des crochets, les excrements de vaches dans la rue (exposes pour nou nord-americains, comme un oeuvre de duchamp ou Magritte "Ceci n'est pas une bouse") et des hommes qui marchent sur une jambe( et meme moins parfois).
Le coup, je ne pourrai jamais le decrire, je vais seulement pouvoir raconter l'environnement et montrer la plaie, c'est tout.
Nu j'etait en enfer
Les jours qui on suivi m'etait sans fin, je pensais a mon monde, et voyais un autre devant mes yeux. Les yeux de mon esprit ne pouvaient donc jamais faire egaller ce que je voyais et ce que je regardais, j'etait donc dans un etat de vide, un limbo, un blanc dans rien de noir, un point dans l'univers.
Comme Ishtar je me rabilla, mon humour fut ma premiere tunique, que je portais fierement sur mes epaules hautes (a la vue, mais nous savons tous que ce que nous voyons est souvent illusoire) pour eloigner les gens. Mon homour me faisait bondir, me faisait sourire me faisait rire dans des moments innoportuns. Ma premiere tour de defense, my own tower of iron will: the laugh.
MA cote d'armure bien montee, je me retrouva donc avec mon interieur a combler. L'imagination fut la deuxieme piece a s'ajuster. Mes reves etaient plus vifs, plus viants que me jours, je revais au gens de l'amerique : a Schmoo, a Kosta, Martin, Francis, Grig. Je revat aussi a Seba, qui gagna son premier Gamiq, a Roger, qui defend le chien a DuckHunt. MEs reves n'etait plus des fantasmogories mais plutot des exutoires, des ideees qui m'insipireraient pour les annes a venir.
Mais hier...hier j'ai retrouve ma piece amie. Pour la premiere fois, je retrouvais quelque chose de moi que je n'avait pas empiriquement de besoin mais qui me comblais bien, qui me faisait du bien pour moi, mais qui me repalacait les idees aussi. Hier j'ai retrouve une piece qui m'a tellement plu, une piece que l'on laisse souvent derriere soi pas peur des ceux qui pensent plus mechamment que soi. Heir j'ai ete visite par un viel ami, un ami que j'avais pas vu depuis si longtemps, et il me gata, il m'amusa. C'etait le singe sur mon epaule : Cynisme

samedi 27 septembre 2008

Bord du fleuve

Le gange est potable, dit on, ici
A 200 metres d'(h)altitude je me retrouve a Rishikesh
Les trois questions que l'on me pose le plus souvent (dans l'ordre d'importance selon eux) sont:
Where do you come from ? apres une semaine de Canada je me resolu a repondre n'importe quoi qui me passe par la tete, j'imite des accents australiens ou j'invente un langue rien ne compte, les gens restent beton d'une facon ou d'un autre. Souvent s'ils ne conaissent pas l'emdroit ils insinuent moins ma propention a leur fouger de l'argent. C'est etrange comment ca fonctionnne (Blanc, peut-etre US ? hmm non Canadien, il a peut etre du fric quand meme...Yaoundais ? j'ai aucune idee si c'est moi qui devrait le financer.) Alan et ces trucs d'accents me font bien rire, mon british est atroce mais semble convaincre plusieurs, malgre que tout ce que je fasse c'est imiter Michael Caine.

C'est quoi ton nom est toujours toujours toujours le deuxieme. Encore la Jim fait l'affaire, j'ai dit Jean-Michel a deux ou trois personnes et la confusion imaculee de leur esprit est allee prendre une douche avant de me readresser la parole.

C'est la troisieme la compliquee, celle que je prends souvent beaucoup de temps avant de repondre
...et puis comment trouves tu l'Inde ?

au debut je riais, je plaisantais et je complimentais la beaute de l'endroit, mais hier, au bord du gange assis avec Dow Mossman et une famille qui se baganit je repond franchement :

L'Inde m'a casse comme une assiette de terre cuite.

c'est tout ce qui me vient a l'esprit, c'est la seule image qui me vient en tete, quand je pense a l'inde, c'est comme un plan slow-motion a la John Woo d'une assiette qui tombe sur le sol, comme Lou Diamond Philipps est son cigarillo dans Big Hit. Tout ce qui me conpose, tombe lentement vers un sol en marbre blanc. Au sol, tout eclate, l'unite qui me composait n'existe plus, comme mon Guru de Silat me disait, we are made of the best pieces ever, like a car, a motor, a ventilator, a drive-shaft, but the pieces dont fit, they dont make a car, you need to make a car out of all your parts.

C'est exactement ce que je tente de faire, depuis trois jours, je remt les choses en places, je medite, je marche, j'ai pris un cours de yoga...no comment j'esaye tout pour me remettre en un morceau, pour etre coherent. Les pieces reviennent en place lentement mais reveindrons en place plus fortement solidifies que jamais.

mercredi 24 septembre 2008


-You look like an Isreali soldier
me dit Yael, jeune dame qui marche avec nous dans les rues de Rishikesh, il est 7 heures et dix du matin.
-Really ? dis-je en me regardant l'acoutumence
-Yeah with the pants and the beard
Je comprends bien que je detonne avec le paysage, grand blanc et barbu dans une ville d'indiens. J'ai jamais vraiment trouve mon centre dans ce pays, je me suis jamais senti chez moi. Delhi, Agra et Varanasi nous traitent comme des etrangers, chaque passant nous fixant, chaque marchand nous criant apres, chaque enfant nous supplaint. Tout le monde s'essaye, tout le monde veut une partie de toi, la plus grosse partie qu'ils veulent, c'est ton porte-feuille et ne s'empecherons pas de venir le chercher eux-meme. Je suis rendu a un point que je termine les conversations avec ou plus simplement pour ceux qui ont un anglais plus simplifie. C'est a Varanasi que je me suis tanne d'etre traite comme une grand tour de chair lucrative et c'est la que j'ai bloque toute forme de contact. Des gens se mettent en file pour t'extorsionner, un apres l'autre, allant jusqu'a cinq personnes par minute. Namaste, Shukriya, Naheenj...Bonjour Merci Non, c'est tout ce que l'on peut dire. A Varanasi (ville dont je voulais le plus m'imprgner mais qui n'a qu'improgne mon linge apres tout) au Aarti Ganga (salutation au gange) trois jeunes garcons nous suivent. Le leur en met plein la vue avec des histoires d'ours et de judo sachant bien que tant que les enfants seront autour de nous et que je m'occupe de eux les marchands nous laisserons tranquilles.
-When we leave our houses in Canada we have to wrestle bears to go to school, and they like to eat our books...
je leur raconte des sottises et ils le savent ben plus que moi, leurs yeux brillant d'une intelligence mesquine.
-What do you do when you dont go to school?
premiere question, je tente des le cerner
- I sell postcards to tourists , il me reponds, sans trop insister pour que je lui achete. (hmmm...)
Je me presente et ils se presentent, le dernier celui du fond me fait un grand sourire
-im Agir, il dit, do you speak hindi ?
je le regarde, pas trop sur de la sage reponse
-do you know what it means ? it means the wind
et la ca declick. je comprends ce qui se passe, mon regard focus sur les jeunes se transforme en regard panoramique, celui que Randal m'avait apris au Silat, un ragrde genral qui sert a pas se lasser frapper derrier la tete
et c'est justement ce qui se passait.
marie et moi nous jouons souvent aux echecs ici en Inde, les passes-temps sont rares et quand on soupe on se partage souvent une partie au coucher de soleil.
Autour de moi, a Varanasi en plein Aarti Ganga, sur le bord du Gange, en foule d'au-dessus de deux milles personnes, le pieces se placaient.
J'observait tranquilement les gens se positonner, les personnes passer un derrieres les autres, les yeux sur nous ou sur un autre piece de l'echiquier. Ils etait touts present, le bord des blancs n'avaient que deux pieces et eux joueint avec un echiquier complet, ils entraient pour nous mettre en echec.
Heureusement, je suis pas bon aux echecs, trop de regles, trops de joutes pas assez d'improvisation. Me sortir d'un petrin en public, ca j'ai pas de probleme, l'improvisation c'est mon fort, c'est ecrit dans mon CV ca doit etre vrai. Je souris poliment a Agir, on se regarde dans les yeux, il comprends que je comprends qu'il comprends. Tout d'un coup, nous sommes dans un grand film de David Mamet, un film gros comme le troisieme plus gros pays du monde. Toutes les passes sont permises, seul le plus fin s'en sortira, je eput pas vraiment me confondre avec le paysage donc je n'aurait qu'a etre plus vifs que eux. Je n'etait pas du tout pret a ce genre de sport mais maintenant je suis apte, j'ai dormi, j'ai pris du paysage , je me suis familiarise avec le langage. Dans un autre 5 jours nous serons dans une autre ville metropolitaine, la ou le manege recommancera, mais cette fois-ci je serai pret. The House of Ganga deviendra The House of Games. Je ne pourrait pas me comoufler dans la foule, nous ne pourrons jamais etre icognito, jamais etre invisible. Sticking out like a sore thumb est une vielle expression qui me vient en tete. rien est pareil ici, rien. Je vous avait dit au debut que je m'ennuyais et bien l'ennui s'est transforme en autre chose depuis quelques jours, ca s'est transforme en ennui pour l'ordinaire, en longue plainte pour la simplicite. Etre incapable de faire confiance, de reconnaitre le familer, de baisser sa garde epuise, Grig me dit que j'ai d'l'air fatigue, il est bien un de mes bons amis quand il peut le voir dans mes yeux photgraphies, je m'ennuie de cela, d'un monde qui m'aide et qui me voit pour ce que je suis et non pour le matieriel. La simplicite d'un dejeuner ou d'une conversation, d'un Rap Maudit, d'un Cinema du parc. Toujours uax aguets, je n'en profite que superficilement, vous le savez bien, je suis pas une personne qui vit bien dans le stress et dans la mefiance. Yael me regarde, elle me connait pas et me traite de soldat isrealien, qui l'aurait cru...

des maladies

Les vaccins preventifs que nous avons pris avant de partir :
Typhoide
Hepatite a & b
Polio
Variole
Thethanos
Malaria

et moi je succombe a ... la grippe

oui,oui, je suis bel et bien grippe depuis deux jours. Un de ces grippes qui me terrassent a chauqe fois que j'arrete de courrir un bord et l'autre. Je me rapelle la premiere fois que j'ai eu cette grippe-la, j'etait en secondaire 4 durant des cours d'ete. Je me mouchais aux 5 minutes sans arret. Me voici, 13 ans plus tard, toujours enchaine a cette maudite grippe, ma grippe de relaxation. Hier j'ai dormi 14 heures tout pres d'un homme saint dans un train. IL rotais, ronflais et gasais pres de Marie mais secretement, il me guerissait et m'inspirait. Des mon reveil a Haridwar j'avais en tete un super-team indien completement neuf. J'ai aussi re-ecrit l'origine de la bague des GL au grand complet. Varanasi est la ville la plus sacree de l'Inde, dit-on, mais le monde la traite en poubelle. C'est dur a voir, je me confronte a tout mes ideaux que je m'etait construit durant le cours de M.Boisvert (Introduction a l'hindousime), plus que jamais je suis conscient qu'on peut pas juger son peuple par sa religion. Comme Ishtar qui a brule toutes les facetes de sa personne pour atteindre les enfers, je me brule lentement de mes illusions. Je devient plus fort et plus conscient, c'est dur a decrire mais ca se passe maintenant.

samedi 20 septembre 2008

The Taj


Je travaille a l'instant sur un histoire avec le Black TAJ (Taj Mahal legendaire qui aurait ete construit de marbre noir, pour symboliser le deuil) mais pour l'instant, le white TAJ et ma reaction devant elle...

I really respect the Great Khali...

Bon je sais, c'est pas de quoi s'enerver mais quand nous avons atteri a New Delhi, a 20:30 du soir (10 de matin Montreal Mercredi) apres 4 films dans l'avion et tres peu de sommeil, c'est Dave Batisita qui venait ramasser ses bagages juste a cote de moi.

Maaaaaaaaan c'est weird

Je suis a 7760 kilometres, y'a un chameau a l'entree du cafe internet qui se fout la face dans une marmite de lait chauffe pour faire des beignets pis le dude a cote de moi ecoute Two girls and One cup...

Oh yeah we're good to go, hell yeah agent double O

Nous avons fui Delhi, comme des bandits dans un film turke nous avons couru plus vite que nous pouvions. Le dos couvert, les yeux furtifs nous avons fui Delhi. Le soir d'avant, dans le taxi de Amil (aux yeux tendres mais aux intentions frauduleuses) le pluie ce faisait ragir sur Delhi, l'eau sans fin dans les rues et sur nos vitres, Delhi m'apparait comme un lieu terrible, comme je l'ai enonce auparavent Delhi c'est l'apocalypse. L'Apocalyspe selon Children of Men, selon Mad Max, selon I am Legend la perdition. Un monde ou tout est vieux et re-utilise. Un monde ou la rue, la chambre, les toits et les viaducs sont des lieux de repos. C'est un leiu de grande beaute, un lieu de grande fonctionalite ou l'homme se retire de son confort pour vivre. Avec autant de residents que le Canada en entier Delhi est une ville que je n'aurais jamais pu imaginer meme si on me l'avait montre si souvent au cinema.

The reports of my death have been grossly exagerated

(a partir de maintenant...vous pardonnerez mon clavier)

DELHI DAY ONE:

Je suis dans un train direction Agra. Marie et moi partageons un lit dans le train, il est midi juste. Assis pres de moi est un jeune homme au nom de Vishnu, il fait des sites web pour les ecoles primaires de l'Inde, un autre jeune technocrate qui viens aider ses prochains a coup de carte sans fil. On en trouve plein de ces jeunes hommes, bienveillants, bien-actifs, gentils et qui poursuivent plus que tout, la prosperite de leur pays. Shiva etait mon premier, doux petit homme bien carre dans les rues de Delhi. Il etudie pour devenir medecin, ses yeux scrutent la rue et le ciel et on peut voir qu'il voit une ville prospere et belle. Moi je vois l'apocalypse, je vois la destruction et la salate, je vois la ville de New Delhi avec mes yeux neufs de touriste. Toujours assis dans mon train, je lis Stones of Summer, je suis berce par ce livre qui m'amene aussi loin de chez moi mentalement que je le suis physiquement. Je suis loin et je le sens dans tout mes sens. Seul le toucher de Marie me ramene, je sais bien maintenant, sans elle, ici avec moi, je serais perdu. A nos cotes, un couple Londonien/Ecossais lisent sur leur lit. Le train avance lentement mais surement et nous plane une vue sur Mathura (ville ou serait ne Krishna)des vidanges, des animaux, des villageois. La fenetre qui nous offre cette vue est teintee bleue, presque sureel comme vue sur l'Inde. Le Londonie et moi discutons, c'est ce que les touristes font le plus souvent, s'echanger des mots hindi, des destinations uniques, des trucs pour survivre. Il me demande : je lui reponds. ...Nous avons atteri a Delhi, c'est notre premiere fois en Inde...
...Hmmm, what a baptism of fire.... il reponds.
C'etait la derniere chose que j'ai entendu de lui, parti dans mes pensees sur le auquel il me referait. Sachez, pour moi, Baptism of Fire ca vient d'ici, non je sais ca vient pas d'ici mais c'est la la premiere fois que j'en ait entendu parler, la premiere fois que j'ai vu cette expression, mais maintenant je sais comment on se sent. Le bapteme par le feu, celui qui brule mais qui lave, celui qui blesse mais qui rends plus fort. Encore une fois je regarde cette image de Kyle Rayner et rien ne semble plus approprie. Mon Baptism of Fire, l'Inde...

vendredi 19 septembre 2008

Bombay...the hard way

Shit je suis en Inde !

vendredi 5 septembre 2008



Comme si quelqu’un avec une enfance parfaite droppait de l’Acide et m’éternuais dans le crâne, quelque chose de virale, solide...directement dans la matière grise

mardi 2 septembre 2008

Spécial Jaime Hewlett



Ça vaut vraiment la peine

Alright on recommance a blogger

Ça fait un bout mais c'Est pas comme si j'avais cessé. Carole Aoun m'avait partagé une fois, il y a si longtemps maintenant qu'un blog c'était comme un nouveau-né, si on s'en occupe pas au moins minimalement vaut mieux le laisser pour mort. Merci Carole, j'en prends bonne note mais à partir de maintenant PosteModerne.blogspot.com sera un peu comme l'enfant sauvage de Truffaut, un enfant qu'on aurait abandonné mais qui se serait developpé une noblesse dans sa sauvagerie. bien au contraire de ce splendide film, mon blog deviendra plus un enfant qui, par manque d'influence civilisatoire amalgamera pro-culture (a l'inverse du terme contre-culture, qui fait de moins en moins de sens pour moi) d'occulte, de pensés éparses, de conneries et d'interêts. C'est un peu comme une version blog du juteur installé dans le derrière de la DeLorean de Back to the Future, comme un enfant qui se nourri exclusivement de déchet mais qui défèque de l'or. Vive mon miracle-baby-blog, he has cometh !!!