lundi 4 mai 2009

Mon intimité

Je viens de passer une fin de semaine pas mal complète, accentuée seulement par la présence du sort de Mass Effect, plusieurs heures d'écriture, du Star Trek, d'autres heures d'écriture, une recherche exhaustive sur King Diamond et deux soupers, ma foi, bien appréciés. Mais en fait, ça vient le sujet, il faut contextualiser...merde.

Non

C'est ça, je pensais à ça, FOCUS

Donc je me retrouve une soirée a jaser avec un ami de BD, en fait à chaque fois qu,on se croise on parle de BD, je me rends compte que depuis que j'ai quitté la radio j'ai de moins en moins d'opportunités de parler de comics, donc je compense en en parlant tout les jours avec ma copine qui subit mes inflexions et tergiversations, la paume de la main au coude, la face dans son GinTonic a murmurer de : "hmmmhmm, wouais wouais" une fois de temps en temps.
Mais quand lui et moi on parle de plus que de la Bd on parle de ce qu'es la Bd, souvent comme un filtre social. Mais ce soir-là on était tombé sur un style bien précis celle qu'on appellait la BD intime. Tu sais de quoi on parle c'est sur, la Bd intime c'est celle qui raconte nos petits séjours de l'existence ou comme le Voir le décrirait : Les jus d'orange de nos lendemains de veille (uurgh). J'ai pas besoin d'en nommer vous en connaissez tous au moins un ou deux, gardez-les en tête.

Aujourd'hui, je me suis libéré du sors Mass Effect sur mon existence et j'ai été revisiter des vieux chums de WebComic, toujours en forme, implacables qu'ils sont et maintenant je me rends compte que tout ceux que je suis font de la fiction. Encore un paranthèse ici, mais sachez que j'aime bien les Bd biographiques bien cutes et fun, c'est pas ça mon problème, mon problème c'est le RÉALISME
Je déteste le réalisme de toutes mes forces, au début c'était un inconfort, après ça c'était comme un cheveux dans les dents, c'était juste gossant. Mais la la. LÀ c'est rendue une guerre, une grosse en plus...
Je suis tanné du fait que Batman soit rendu réaliste et qu'on peut plus mettre d'extra-terrestres en science-fiction. J'aime le fait que Seba de Gatineau fasse de la BD auto-biographique mais qu'elle soit une extrapolation fictive sur sa vie, j'aime le fait que Simon Banville fasse un Anti-Biographie, j'aime que des personnages d'histoires peuvent parfois rotationner (Fuckit j'invente de mots) leur torso à 360 degrés sans que ça change quoi que ce soit à l'histoire, j'aime même le chien à la fin de Grégoire Moulin contre l'humanité (oui celui qui conduit la Peugeot.

La phrase la plus importante de l'humanité c'est :
"Nothing is true, Everything is Permitted"

et y'a rien qui me fait plus sourire

1 commentaire:

marie-anasazy a dit…

" la paume de la main au coude, la face dans son GinTonic a murmurer de : "hmmmhmm, wouais wouais" une fois de temps en temps. "

hey, monsieur, je fais mieux que ça! un peu de crédit svp. Tu sais que ça m'intéresse ce que tu dis, sinon j'irais me coucher au lieu de me priver de sommeil pour t'écouter ;)