mercredi 2 avril 2008

Doomsday ou l’anticonformisme récompensé


Bon, je viens de sortir du film et au lieu de dormir ou de compter les poils noirs dans mon évier je décide de m’enfiler une autre dithyrambique sur la position de l’anticonformisme dans notre Ô si chère société. Depuis les derniers jours, je n’est pas à vous dire, que ça me tiens bien à cœur. Maya Deren et tout qui met si simplement le point sur le i de l’importance de l’anticonformisme dans notre société comme étant un refus et une prise de position sur l’insatisfaction de notre monde. Hum, pour moi il est très simple et évident qui si le monde va si mal de nos jours ça doit être ne partie causé par le fait que les gens n’ont plus de refuge ou ils peuvent se démontrer comme «autre» dans un système uni-oppositif (mot inventé de toutes pièces qui ne sert qu’a illustrer que peut importe quel chemin ou quel parti nous prenons pour, nous nous retrouvons toujours avec le même problème) ( ou plus simplement dans les mots de Tyler Durden : «What do you prefer, the puppet on the left or the puppet on the right» ) (fin de la parenthèse). Étant maintenant incapable de fermer mon petit ouvroir analytique, fardeau en parti dû au fait que je fait maintenant le 7eim antiquaire complètement sur l’analyse cinématographique, je me lance dans Doomsday, qui n’aide pas la cause du silence intérieur (ni extérieur à bien y penser, j’ai du crier au moins six «GODDAMN» durant tout le film, ah oui, certains «SHITS» aussi mais cela seulement gràce à Swissguard Squigelf.)

L’analyse viendra plus tard, la je m’en vais me coucher, on va écrire ça demain…

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