mercredi 30 avril 2008

IXE-13

Je finalise mes travaux de fin de session à l'insant. C'est des beaux jours ces furies de productivité ou l'on se doit d'extraire chauqe parcelle de littérarité dans nos vies pour arriver au dead-line. Vraiment j'aime cette torture de créativité que tant des gens prennent comme fardeau. Souvent mes travaux me satisfont, trop souvent me laissent-ils une fin amère sur une session de plus. Je viens de complèter un travail sur IXE-13 l'as des espions québécois. J'en profite ici, je vous met la conclusion que j'aime bien :

"Le film de Jacques Godbout est un autre exemple de travail sur le texte. Écouter IXE-13 tel que Les cyniques l’on interprété, c’est écouter un récit de farce sur le pathos du Québécois moyen, celui qui s’inspire des voisins d’en bas et des États-Unis. Quoi de mieux de l’auteur de Volkswagen Bleues ? Dans Pierre Daignault, de Luc Bertrand, on soulève une anecdote où Pierre Daignault aurait été ignoré lors de la première du film de Jacques Godbout. Cette histoire nous parait triste, car l’oubli de l’esprit fondateur d’un mythe nous attriste toujours, nous chers lecteurs. Mais se sentir attrister par ce que l’on ne peut que nommer « nostalgie du passé » nous fait ignorer un fait plus important : le fait que ce jour-là, l’œuvre de M. Daignault était devenue une partie inhérente de la culture québécoise. La première du film servait on consacrer IXE-13 dans le grand panthéon des héros québécois, tout près de Maria Chapdelaine et Red Ketchup. Enfin, l’œuvre de Pierre Saurel était intégrée dans la culture québécoise, là où tous avaient la permission de jouer avec elle, de le lire et de l’imaginer."

2 commentaires:

Anonyme a dit…

whoa!

Éric Michaud a dit…

Maria Chapdelaine au côté de Red Ketchup... J'adore!